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Oméga 3.6.9.

 

1 Les maladies Cardio-vasculaires

Que se passe-t-il quand on comble les déficits en Oméga 3 ?

Après les études épidémiologiques, les essais cliniques randomisés sont la deuxième étape pour valider la théorie sur les oméga-3. Ces essais comparent un régime expérimental avec un régime témoin, la répartition des participants dans les différents groupes se faisant par tirage au sort, comme pour les médicaments.Le centre d’amincissement Hélène Galé, votre coach minceur anti-âge vous permettra de maigrir et de rajeunir grâce à la cryolipolyse, votre cellulite sera enlevée rapidement et vous fera un ventre plat.

Mieux que des médicaments

Actuellement, aucun médicament utilisé en cardiologie, y compris ceux prescrits pour faire baisser le cholestérol, ne présente de profil scientifique aussi solide que celui des acides gras oméga-3.

Aucun des essais cliniques techniquement acceptables publiés à ce jour avec les oméga-3n'a rapporté de résultats négatifs ou même douteux, susceptibles de réfuter la théorie.

La grande originalité de ces essais est d'avoir été conduits à des époques différentes (entre 1984 et 2002), sur des populations variées (britannique, italienne, française, indienne), avec de grandes différences dans le mode de vie et selon des stratégies très différentes.

Parfois, l'intervention (c'est-à-dire l'expérience à laquelle les patients étaient soumis) consistait en des conseils nutritionnels très simples, parfois les conseils nutritionnels étaient plus compliqués et les patients devaient être suivis attentivement et de façon rapprochée dans le temps.

D'autres fois il ne s'agissait que de prescrire des capsules d'huile de poisson concentrée.

Tous ces essais avaient toutefois un point commun : ils avaient comme conséquence une augmentation des concentrations sanguines et tissulaires des acides gras oméga-3 dans les groupes expérimentaux.

Une portée universelle

Autre point commun de ces essais : les participants étaient, dans tous les cas, des patients ayant survécu à un infarctus du myocarde récent.

Ils étaient tous atteints d'une maladie des artères coronaires sévère et extrêmement dangereuse. En conséquence, les leçons à tirer des résultats de ces essais avaient une portée immédiate pour la pratique clinique quotidienne et une portée presque universelle puisque des patients de pays très différents (en termes ethnique, géographique et pour le mode de vie) avaient été inclus dans ces différents essais.

Le fait que des bénéfices ont été obtenus chez ces patients à risque élevé et que ces bénéfices ont été reproduits démontre bien que les acides gras oméga-3, à doses suffisantes, entraînent une importante réduction du risque de maladies ou de complications cardio-vasculaires.

Contrairement à la majorité des médicaments de prévention, l'effet des acides grasoméga-3 sur l'espérance de vie est spectaculaire !

Le succès de ces essais (totalement inattendu par les nombreux médecins qui ne conçoivent la médecine qu'avec des médicaments) tient à une explication simple. Il ne s'agissait pas d'un traitement médicamenteux visant à inhiber une enzyme, à bloquer un récepteur membranaire ou à empoisonner tel ou tel organite cellulaire dans l'espoir d'interrompre une chaîne d'événements délétères. Il s'agissait de rétablir un équilibre compromis, de corriger un déficit et donc de remettre en fonctionnement normal une physiologie perturbée. Au contraire des médicaments, aucun effet délétère susceptible d'annuler les bénéfices de l'intervention n'était à craindre, puisqu'il s'agissait de réintroduire, au niveau des cellules, des nutriments indispensables à leur bon fonctionnement, c'est-à-dire des substances naturelles que les cellules connaissent et attendent.

2 Trois effets protecteurs

Aussi convaincants soient-ils, les essais cliniques et les études épidémiologique; apportent rarement des explications biologiques. Or, les scientifiques ont du mal à se convaincre d'un phénomène s'ils ne comprennent pas les mécanismes à l'origine de l'effet observé.

Pour expliquer comment les acides gras oméga-3 à chaîne très longue (EPA et DHA) protègent le coeur, trois mécanismes peuvent être évoqués.

Un effet sur les canaux ioniques

C'est à l'équipe d'Alexander Leaf à Boston que revient le mérite d'avoir décrit les effets des acides gras oméga-3 sur les canaux ioniques des cellules cardiaques et donc sur l'activité électrique de ces cellules.

Cette activité électrique est essentielle pour la coordination de l'activité mécanique du coeur (lire encadré). Les oméga-3, en modulant l'activité de certains canaux ioniques, stabilisent l'activité électrique des cellules (elles sont moins excitables).

Cet effet stabilisant est surtout important lors d'une attaque ischémique, c'est-à-dire quand le coeur est privé d'oxygène du fait de l'occlusion de l'artère. Cet effet « stabilisant » empêche la diffusion dans le tissu d'une activité électrique chaotique (fibrillation ventriculaire) qui normalement conduit à l'arrêt cardiaque.

Les effets anti-arythmiques des oméga-3 confirmés
Un groupe allemand a montré une extraordinaire prévention des arythmies ventriculaires provoquées volontairement par les médecins en utilisant des solutions d'oméga-3 par perfusion intraveineuse, avec des effets protecteurs quasi immédiats (Lancet 2004). Le groupe d'Alexander Leaf à Boston a rapporté les résultats de l'étude FATS, un essai en double aveugle chez des patients porteurs de défibrillateur implantable du fait d'antécédents de mort subite ou de syndrome équivalent. Avec seulement 1,7 g d'EPA+DHA, ils rapportent une réduction de 40 % du risque de récidive.

Un effet sur le système nerveux végétatif

Un régime enrichi en oméga-3 a de profondes conséquences sur les nerfs du système nerveux végétatif (système sympathique et para-sympathique) qui contrôle l'activité électrique du coeur et en particulier la variabilité du rythme cardiaque.

La variabilité cardiaque est la propension du coeur à varier de fréquence en fonction des événements (effort, émotion par exemple). Plus la variabilité instantanée du rythme cardiaque est élevée, moins le risque de fibrillation ventriculaire est grand.

Des chercheurs danois ont montré que la variabilité du rythme cardiaque était fortement dépendante de la concentration enoméga-3 du coeur et du sang.

Ils ont même montré dans un essai en double aveugle qu'en augmentant les apports en oméga-3, ils obtenaient une augmentation très nette de la variabilité cardiaque, donc une diminution du risque d'arythmie ventriculaire maligne.

Un effet « vaccin » contre la crise cardiaque

Le muscle cardiaque est capable de développer ses propres défenses pour résister aux effets de la privation d'oxygène résultant de l'occlusion de l'artère coronaire.

Si à plusieurs reprises on provoque une brève occlusion d'une artère coronaire (1 ou 2 minutes) avant une occlusion plus longue (30 à 60 minutes) qui inéluctablement provoque la destruction cellulaire (l'infarctus du myocarde), la masse de tissu nécrosé observé est au moins deux fois plus petite qu'en l'absence de ces brèves occlusions préalables.

Une sorte de vaccination contre les dommages de la crise cardiaque sur le muscle cardiaque ! De nombreuses équipes ont cherché à comprendre le mécanisme de ce préconditionnement et à mettre au point, sans succès jusqu'à présent, de nouvelles molécules susceptibles de le mimer dans l'espoir d'en faire de nouveaux médicaments.

En fait, seules deux interventions préventives, toutes deux nutritionnelles, ont permis de reproduire le préconditionnement ischémique : la consommation modérée d'alcool et surtout la consommation d'acides gras oméga-3 !

3 Prévenir le cancer avec les oméga 3

Les populations consommant beaucoup ; d'oméga-3 (Japon, populations méditerranéennes ayant conservé leurs habitudes : traditionnelles) ont un risque de cancer : nettement diminué par rapport à d'autres populations, notamment occidentales.

Il n'y a pas « un » cancer !

On dispose de moins de données sur les relations entre oméga-3 et cancer (et entre facteurs nutritionnels et cancers en général) que pour les maladies cardiovasculaires.Le centre d’amincissement Hélène Galé, votre coach minceur anti-âge vous permettra de maigrir et de rajeunir grâce à la cryolipolyse, votre cellulite sera enlevée rapidement et vous fera un ventre plat.

Toutefois, les données existantes suggèrent que les oméga-3 peuvent contribuer à diminuer le risque de cancer. Une des difficultés pour les chercheurs vient de ce que chaque type de cancer est une maladie en soi répondant à des causes et à des traitements spécifiques. À l'évidence, un cancer de la gorge ne répond pas aux mêmes déterminants qu'un cancer du sein ou de la prostate.

Néanmoins, parce qu'ils sont les constituants membranaires de toutes les cellules et par leurs propriétés à la fois anti-prolifération et anti-dissémination, on peut sans risque affirmer qu'une consommation : adéquate d'oméga-3 contribue à diminuer le risque de cancer alors qu'une forte consommation d'oméga-6 augmente ce risque.

Faut-il attendre des « preuves » irréfutables pour agir ?

Le principal facteur cancérigène est le facteur temps, c'est-à-dire d'une part la durée d'exposition aux facteurs cancérigènes (le tabac par exemple), d'autre part le temps nécessaire au développement d'une tumeur détectable cliniquement.

Contrairement aux maladies cardio-vasculaires, il n'y a pas dans la maladie cancéreuse d'événements aigus cataclysmiques (parfois fatals en quelques minutes) sur fond de maladie chronique et lente.

De même, on ne fait pas la distinction entre prévention primaire et prévention secondaire (prévention de récidive), car à nouveau le facteur temps a paru rédhibitoire aux chercheurs. Cela signifie que face à l'épidémie de cancers qui assaille les populations occidentales, il serait absurde d'attendre de disposer de preuves irréfutables (qui ne viendront peut-être jamais) pour organiser une stratégie préventive.

Il faut donc appliquer « le principe de Précaution » dans toute sa rigueur, d'autant qu'une stratégie nutritionnelle anti-cancer est presque superposable à la stratégie de prévention des maladies cardio-vasculaires, qu'aucun effet nocif n'est à craindre et que, surtout, nous n'avons rien à perdre !

Pourquoi sommes-nous déficients en oméga-3 ?

Principalement parce que les aliments produits par l'agriculture moderne et l'industrie agro-alimentaire se sont considérablement appauvris au cours des dernières décennies. Cependant l'histoire est un peu compliquée et nécessite des préambules.

Les acides gras essentiels sont cruciaux pour le fonctionnement de nombreux organismes vivants et, chez les humains, pour conserver un état de santé optimal. On peut les assimiler à des vitamines et, comme pour celles-ci, il y a des déficiences absolues ou relatives, parfois même de vraies carences.

Officiellement, il n'y a que deux acides gras essentiels (lire encadré) :

  • l'acide linoléique, oméga-6
  • l'acide alpha-linolénique (ALA), oméga-3

Nous sommes capables, en théorie, de synthétiser leurs descendants plus complexes (plus longs, avec plus de doubles liaisons) et très importants pour la santé comme les acides eicosapentaénoïque (EPA) et docosahexaénoïque (DHA) de la famille oméga-3.

En réalité, nos capacités de synthèse sont limitées, surtout aux âges extrêmes de la vie (lire encadré). Nous dépendons de nos apports alimentaires pour toute la série des oméga-3, et pas seulement pour le premier de la série, l'acide alpha-linolénique.

Concrètement, notre alimentation doit comporter, en plus de l'acide alpha-linolénique des aliments riches en acides gras à très longues chaînes oméga-3 : l'EPA et le DHA. 

On les trouve presque exclusivement dans les poissons gras, ou éventuellement dans des capsules d'huiles de poisson ou encore dans les oeufs de poules nourries avec des graines de lin. On en trouvait aussi en France dans certains abats, comme la cervelle, mais leur consommation s'est effondrée depuis la tragédie de « la vache folle ».

Trop d'acide linoléique

Finalement, si les acides gras essentiels (linoléique et alphalinolénique) doivent absolument être apportés par nos aliments, ils doivent l'être en quantité équilibrée car pour les transformer en composés à plus longues chaînes, nos cellules font appel aux mêmes voies biologiques et aux mêmes enzymes : des apports excessifs de l'un gênent le métabolisme de l'autre.

Il y a aujourd'hui un consensus pour dire que notre alimentation contemporaine est beaucoup trop riche en acide linoléique oméga-6 et beaucoup trop pauvre en acide alpha-linolénique oméga-3.

Autrement dit, il faut diminuer nos apports en acide linoléique (donc en premier lieu notre consommation d'huiles de tournesol, de maïs, de soja, de pépins de raisin) et augmenter nos apports en alphalinolénique (huiles de colza, de noix, de graines de lin).

4 L'action des acides gras essentiels

Les acides gras essentiels servent à un certain nombre de fonctions organiques importantes. D'abord et avant tout, ils servent à faire les eicosanoïdes et les prostaglandines. Ces substances à la vie brève, proches des hormones, régulent de nombreuses activités de votre organisme.

Entre autres choses, les eicosanoïdes et les prostaglandines contrôlent votre pression sanguine, la température de votre corps, apaisent les inflammations, les gonflements et les douleurs. 
Ces substances régulent aussi la coagulation du sang et les réactions allergiques. De plus, elles fabriquent d'autres hormones.

Pour faire les différents eicosanoïdes et prostaglandines, votre organisme puise surtout dans les acides de la famille oméga 3 pour certains et dans ceux de la famille oméga 6 pour les autres. Ces deux acides gras sont aussi importants que le frein et l'accélérateur de votre voiture : il vous faut les deux pour conduire. Si vous laissez plus longtemps votre pied sur l'accélérateur ou sur le frein, au lieu d'utiliser les deux judicieusement, vous courez des risques.

L'introduction au XXe siècle des huiles végétales, mais, arachide et autres, a sérieusement déséquilibré les quantités d'oméga 3 et d'oméga 6. En général, nous devons prendre au moins 2 à 3 % d'acides gras oméga 6 et au moins 1 à 1,5 % d'oméga 3.

Nous n'avons surtout pas besoin de plus du double d'oméga 6. Hélas, cet équilibre n'est pas du tout respecté dans les régimes habituels. A tel point que nous absorbons beaucoup plus d'acides gras oméga 6.

Autrefois, avant l'époque des huiles végétales raffinées, on trouvait ces acides gras essentiels dans les céréales, les noix, les légumes et le jaune d'oeuf. La moyenne des gens consomme aujourd'hui toutes sortes d'huiles raffinées, très chargées en acides gras oméga 6 et relativement pauvres en acides gras oméga 3 qui sont essentiellement dans le poisson, le jaune d'œuf, les noix et les huiles de noix, les huiles végétales non raffinées et l'ensemble des céréales.

Avec le développement des acides gras en trans, ce déséquilibre a, selon moi et selon bien d'autres que moi, fortement à voir avec l'augmentation des maladies cardiaques, du cancer, des infections inflammatoires, des maladies auto-immunes et autres maux chroniques et dégénératifs. Rééquilibrer vos acides gras essentiels est l'une des étapes cruciales de votre régime anti-âge.

Autres avantages des acides gras essentiels

Les avantages que vous pouvez retirer des acides gras essentiels vont bien au-delà de la protection de votre cour et de la prévention du cancer. Les praticiens alternatifs savent depuis longtemps que l'huile de poisson traite l'arthrite rhumatismale et autres maladies auto-immunes comme le lupus et les différentes scléroses.

Au centre Adzins, nous l'utilisons pour soigner la maladie de Crohn, la colite, et autres maladies inflammatoires des intestins. De même pour les problèmes de peau, eczéma et psoriasis.

On a récemment découvert que l'huile de poisson prévenait l'ostéoporose en inhibant la production de la prostaglandine qui empêche la croissance de l'os. L'huile de poisson stimule aussi l'activité du facteur de croissance insuline 1 (FCI-1), une substance proche de l'hormone de croissance humaine (HCH). Parce que le FCI pousse votre organisme à faire de l'os et même à le remodeler, il prévient l'ostéoporose.

L'huile de poisson est utilisée pour traiter avec succès, les troubles de l'humeur, la dépression en particulier. Au cours d'une étude récente, on a donné à trente patients (atteints de mania co-dépression) une thérapie médicamenteuse standard. La moitié d'entre eux a pris des gélules d'huile de poisson ; et l'autre, des gélules d'huile d'olive. La plupart de ceux qui prenaient l'huile de poisson se sont sentis mieux. Les autres, non.

Les oméga 6 et l'AGL

Le centre d’amincissement Hélène Galé, votre coach minceur anti-âge vous permettra de maigrir et de rajeunir grâce à la cryolipolyse, votre cellulite sera enlevée rapidement et vous fera un ventre plat.Nous avons beaucoup parlé des acides gras oméga 3. Mais n'oublions pas la famille des oméga 6. Les huiles oméga 6, tout spécialement l'acide arachidonique, ont été critiquées par les nutritionnistes. Ceci parce que la façon dont on les utilise induit la fabrication de prostaglandines qui resserrent les vaisseaux sanguins, élèvent la pression sanguine et autres effets indésirables. 

Mais il y a un oméga 6 presque essentiel qui émerge du lot : l'acide gamma-linoléique (AGL). Votre organisme en a besoin pour constituer l'une de ses défenses naturelles les plus importantes contre les maladies dégénératives, la prostaglandine E (PGE). Le problème est que votre organisme n'a souvent que trop peu de réserves de l'enzyme nécessaire à la conversion de l'oméga 6 en AGL.

En partie parce que, en vieillissant, vous en faites naturellement moins. Un régime riche en sucres et assez riche en huiles végétales hydrogénées aura tendance à supprimer votre production de cet enzyme. Ce qui entraînera une sérieuse diminution d'AGL et un risque accru de maladie.

Au centre Atkins, nous utilisons l'AGL sous forme d'huile de bourrache ou même de primevère pour aider à traiter toutes sortes de problèmes. Il sert communément à diminuer les symptômes précédant les règles. Avec des résultats remarquables après trois mois de traitement avec une dose de 300 mg par jour, la plupart des femmes voient disparaître leurs symptômes, irritabilité, crampes, poitrine molle.

L'AGL nous a aussi semblé très efficace pour traiter l'arthrite. Nombre d'études l'ont prouvé. L'AGL est aussi très utile contre le gonflement des articulations, la raideur matinale, et les douleurs causées par l'arthrite. Il sert de même à toutes sortes de problèmes communs comme les lésions des nerfs dues au diabète et au taux trop élevé de cholestérol.

 

 

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