L’équilibre « radicaux libres-antioxydants » joue égale ment un rôle central dans l’infection par le V.I.H. (Virus de l’immunodéficience Humaine) et l’évolution de la maladie.
Les radicaux libres sont des molécules instables produites par nos cellules pendant le métabolisme normal. Ils peuvent également être produits par l'exposition à certains facteurs environnementaux, tels que la pollution et le rayonnement. Ces molécules instables peuvent endommager les cellules en "volant" des électrons à d'autres molécules, ce qui peut provoquer un stress oxydatif.
Les antioxydants sont des composés qui peuvent neutraliser les radicaux libres en leur donnant un électron, empêchant ainsi les radicaux libres d'endommager les autres molécules. Les antioxydants peuvent être produits par notre corps, mais nous obtenons également de nombreux antioxydants de notre alimentation, notamment des fruits et légumes.
Dans le contexte du VIH/SIDA, les radicaux libres peuvent jouer un rôle dans la progression de la maladie. Le VIH peut augmenter la production de radicaux libres, ce qui peut causer des dommages supplémentaires aux cellules du système immunitaire. En outre, le stress oxydatif peut contribuer à l'inflammation chronique et à la dégradation du système immunitaire qui sont typiques du VIH/SIDA.
Il a été suggéré que les antioxydants pourraient aider à lutter contre le VIH/SIDA en neutralisant les radicaux libres et en réduisant le stress oxydatif. Certains antioxydants, comme la vitamine C et la vitamine E, ont été étudiés pour leurs effets potentiels sur le VIH. Cependant, bien que certaines recherches soient prometteuses, les données sont encore limitées et les effets des suppléments antioxydants sur la progression du VIH/SIDA restent incertains. Il est recommandé de discuter avec un professionnel de santé avant de commencer tout nouveau régime de suppléments.
Il est également important de noter que les stratégies de traitement les plus efficaces pour le VIH/SIDA impliquent l'utilisation de médicaments antirétroviraux, qui peuvent contrôler le virus et aider à prévenir la progression de la maladie. Bien que les antioxydants puissent aider à soutenir la santé générale, ils ne doivent pas être utilisés comme substitut à un traitement antirétroviral approprié.
Radicaux libres, antioxydants et sida
Le virus augmente la quantité des radicaux libres produits. Parallèlement, le taux des antioxydants chez les patients infectés est inférieur à celui des personnes saines, même si leur alimentation est correcte. Ces deux phénomènes suggèrent que la nutrition peut freiner l’évolution de la maladie et qu’il est utile de surveiller le niveau des antioxydants apportés pour augmenter les réactions de défense. Plusieurs études confirment que les patients atteints n’ont pas suffisamment de vitamine E, de caroténoïdes, de sélénium, de zinc dans le sang. Le niveau de la vitamine E, le principal d’entre eux, diminue d'ailleurs avec la progression de la maladie.
Il a depuis toujours fait beaucoup parler, écrire et proposer des solutions toutes plus miraculeuses les unes que les autres. Le système « radicaux libres-antioxydants » permet au moins de mieux comprendre ce phénomène et peut-être d’en retarder certains des symptômes. Les antioxydants en renforçant le dispositif de contrôle et d’élimination des radicaux libres, ralentissent ce processus de vieillissement et permettent de se protéger contre un grand nombre de désagréments, de les retarder voire même de les éviter.
Causes du vieillissement
Il résulte principalement deux phénomènes intriqués : une incapacité très progressive des cellules à continuer à se multiplier correctement (ces opérations, qui jusque là se déroulaient normalement, laissent «passer» et se développer quelques cellules qui n’ont plus un patrimoine génétique strictement identique) ; certaines fonctions se mettent ainsi à subir quelques ratés ou un ralentissement.
Avec l’âge, l’organisme a également tendance à fabriquer en moindre quantité les antioxydants qui protègent pourtant toutes ses cellules : une alimentation bien choisie peut en partie pallier cette défaillance.
L'espérance de vie augmente d'un trimestre par an. Les plus de 60 ans sont actuellement environ 17 millions, les nonagénaires autour de 500 000, les centenaires près de 10 000. D'après les calculs des statisticiens, les plus de 60 ans sont plus nombreux que les moins de 20 ans depuis 2020.
Quelques symptômes des personnes âgées
Le durcissement des vaisseaux par artériosclérose, la fonte musculaire, la baisse de la vision ou de l’audition, l’ostéoporose, le déclin physique et intellectuel... font partie de ce que vous pouvez malheureusement observer couramment en avançant en âge.
Radicaux libres, antioxydants et vieillissement
Vous pouvez dans certaines limites, moduler le vieillissement pour le moment inéluctable, en évitant au maximum les situations génératrices de trop de radicaux libres et en choisissant une alimentation riche en antioxydants. Cela permet à la fois de favoriser plus longtemps l’apparence physique, l’autonomie, les facultés intellectuelles, ce qu’on peut regrouper sous les termes de « bonne mine et bonne santé », tout en évitant ou en retardant certaines maladies qui vont presque inéluctablement apparaître.
Alimentation recommandée
Une nourriture variée et équilibrée, associée à une activité physique et intellectuelle, contribue tout particulièrement à leur santé. Mais la qualité de l’alimentation pourtant essentielle est parfois difficile à mettre en œuvre. Les personnes âgées ont souvent peu d’appétit, ce qui diminue la quantité globale des calories et des nutriments apportés. Elles éprouvent fréquemment des difficultés ou un manque d’envie pour faire les courses et la cuisine, parce qu’elles sont seules, qu’elles ont perdu une partie de leur autonomie, ou que leur dentition est défectueuse. Elles absorbent en outre fréquemment de nombreux médicaments qui génèrent des radicaux libres.
Les risques d’ostéoporose et d’atrophie musculaire exigent pourtant un apport accru de calcium et de protéines : céréales, laitages, légumes secs, œufs, poisson, viande... auxquels il faut tout particulièrement veiller, d’autant que toutes les études concluent à des carences très généralisées. Leur statut nutritionnel devient incompatible avec l’équilibre que requiert la santé : leurs besoins nutritionnels sont augmentés contrairement à ce que l’on croit mais leurs apports en calories, nutriments, vitamines et minéraux diminuent régulièrement.
L’alimentation des personnes âgées demande à être variée et équilibrée et doit apporter :
Beaucoup d’autres maladies sont à présent rapportées aux radicaux libres :
Cette liste n’est bien sûr pas limitative car la santé résulte d’un bon équilibre entre la libération des radicaux libres et leur capture par les antioxydants. Comme ils interviennent dans la plupart des réactions de l’organisme, il devient inutile d’insister sur le rôle capital des micro-nutriments.
La nécessité de recourir à des antioxydants tient beaucoup aux facteurs environnementaux qui augmentent la production des radicaux libres : alcool, consommation de viandes trop cuites, pollution atmosphérique ou industrielle, utilisation de pesticides, tabac, stress... L’impact d’une supplémentation n’est probablement pas plus important que l’évitement de ces situations « toxiques » ou la pratique d’une activité physique modérée et régulière. Il paraît donc indispensable de surveiller à la fois son mode de vie et son alimentation, ce qui peut parfois suffire, puis le plus souvent de supplémenter.
Lorsque les connaissances scientifiques auront encore avancé, nous pourrons probablement intervenir au cœur de la maladie et être encore plus performants en fournissant des besoins totalement adaptés à chacun et à chaque cas.
Compte tenu de son affinité élevée pour les électrons libres, l’oxygène produit des radicaux réactifs et dangereux pour les cellules dont le rôle toxique est à présent bien démontré. Les potentiels antiradicalaires peuvent être débordés dans de nombreuses circonstances pathologiques et lors du vieillissement.
Il semble actuellement judicieux et bénéfique d’intégrer et d’associer plusieurs antioxydants, actifs à des niveaux différents, pour traiter les multiples affections déclenchées par des radicaux certes libres, mais si toxiques.
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