Les variations de poids chez la femme

Origines

Les variations de poids chez la femme peuvent être le résultat de divers facteurs biologiques, comportementaux et environnementaux. Certaines des causes les plus courantes sont les changements hormonaux, la grossesse, l'alimentation, l'exercice physique, le stress et le vieillissement.

Causes

  1. Changements hormonaux: Les hormones jouent un rôle clé dans la régulation du poids. Par exemple, les fluctuations du cycle menstruel, la ménopause et les conditions médicales telles que le syndrome des ovaires polykystiques peuvent affecter le poids.

  2. Grossesse: La grossesse entraîne une prise de poids naturelle qui est nécessaire pour la santé de l'enfant à naître.

  3. Alimentation et exercice physique: Un excès de calories par rapport à l'activité physique peut entraîner une prise de poids. De même, une alimentation équilibrée et une activité physique régulière peuvent aider à maintenir un poids santé.

  4. Stress et santé mentale: Le stress et certaines conditions de santé mentale, comme la dépression et l'anxiété, peuvent influencer les habitudes alimentaires et l'activité physique, ce qui peut entraîner des variations de poids.

  5. Vieillissement: Avec l'âge, le métabolisme ralentit naturellement, ce qui peut conduire à une prise de poids si l'alimentation et le niveau d'activité physique ne sont pas ajustés en conséquence.

Solutions et traitements

Le traitement des variations de poids dépend de la cause sous-jacente. Cela peut inclure:

  1. Modification de l'alimentation et de l'activité physique: Cela peut impliquer de travailler avec un nutritionniste ou un diététicien pour élaborer un plan d'alimentation saine et équilibrée, ainsi que l'incorporation d'une activité physique régulière.

  2. Gestion du stress: Les techniques de gestion du stress, comme la méditation, le yoga ou la thérapie, peuvent aider à gérer le stress et à promouvoir de meilleures habitudes alimentaires et d'exercice.

  3. Soins médicaux: Dans certains cas, un traitement médical peut être nécessaire, par exemple pour gérer une condition médicale sous-jacente ou pour aider à la perte de poids.

Diététique

Une alimentation équilibrée est cruciale pour maintenir un poids santé. Cela comprend manger une variété de fruits et légumes, de céréales complètes, de protéines maigres et de graisses saines. Il est également important de surveiller la taille des portions et de limiter la consommation d'aliments transformés riches en sel, en sucre et en graisses saturées. L'eau devrait être la boisson de choix et l'alcool et les boissons sucrées devraient être consommés avec modération.

Il est toujours recommandé de consulter un professionnel de santé avant de commencer un nouveau régime ou programme d'exercice, en particulier pour ceux qui ont des conditions médicales existantes ou qui prennent des médicaments.

Le poids de nos 20 ans est souvent  une référence pour les nutritionnistes. Il y a pourtant  des moments, dans la vie d'une femme, où les kilos s'accumulent. Il s'agit de réagir pour les chasser.

 

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Les hormones sont directement responsables de variations de poids propres à la femme. Elles ont un effet sur l'appétit, qui se modifie au cours du mois en fonction des phases du cycle menstruel. Durant la première moitié du cycle, la hausse du taux d'œstrogènes a tendance à faire diminuer l'appétit, tandis qu'au cours de la seconde moitié du cycle, celle de la progestérone l'augmente : notre organisme est alors enclin à stocker pour se préparer à une éventuelle grossesse. Par conséquent, un kilo pris avant les règles se perd bien souvent durant les deux semaines suivantes...

 

L'impact de la contraception 

Il n'est pas rare de constater une prise de poids lors d'une modification de contraception orale (première prescription ou changement de dosage). La pilule modifie en effet l'équilibre hormonal naturel, de manière variable selon les femmes. Un contraceptif peut donner faim ou provoquer des nausées. Il peut aussi ralentir l'activité physique et modifier les dépenses énergétiques, d'où une prise de poids sans que l'alimentation ait été modifiée. Seule solution : trouver avec votre gynécologue une pilule qui vous conviendra mieux. Puis, se mettre au régime pour perdre ces quelques kilos accumulés...

 

Les rondeurs de la grossesse 

9 à 12 kg, c'est la prise de poids « normale» pendant une grossesse. Environ la moitié de ces kilos (bébé, placenta et liquide amniotique) s'en va lors de l'accouchement. L'autre moitié reste acquise. Une partie vient de l'augmentation de volume de l'utérus, des seins, du sang et de l'eau. Tout rentre dans l'ordre dans les semaines qui suivent (un peu plus longtemps si vous allaitez). L'autre partie est constituée par de la graisse : 3 à 4 kilos en moyenne. 
Elle s'installe surtout au cours des six premiers mois de la grossesse. C'est une provision physiologique normale pour assurer les importantes dépenses énergétiques des mois suivants : fin de croissance du fœtus, accouchement et allaitement. Ce processus de stockage se déroule quelle que soit l'alimentation pendant la grossesse.

 

Le relâchement de la ménopause 

Grossir à partir de cinquante ans n'est absolument pas une fatalité. En effet, les kilos qui s'installent alors viennent essentiellement de ce qui se passe dans la tête. Car, si la production d'hormones sexuelles diminue effectivement peu à peu, ces hormones déterminent l'emplacement de la graisse, mais ne jouent pas sur sa quantité. La ménopause est surtout une période déterminante sur le plan psychologique : on redoute de vieillir et de perdre ainsi sa séduction. Le «tant pis, j'en profite» s'installe insidieusement. Plus ou moins consciemment, on «se relâche » : on refuse de se priver et de faire l'effort de bouger, d'autant plus que l'on est souvent persuadée que grossir est une chose normale quand on vieillit. En fait, on n'a pas davantage de raisons de prendre du poids à 50 ans qu'à 30 ans. Sauf, bien sûr, si l'on absorbe plus de calories que l'on en dépense...

 

Envie de sucre ?

C'est fréquent dans la seconde partie du cycle. Évitez les barres sucrées, trop grasses. Croquez plutôt des fruits séchés, qui ne vous apportent que des glucides.

 

Variations de poids et yo-yo :
Les variations de poids conduisent souvent à adopter, pendant quelques jours ou semaines, un régime très restrictif et forcément déséquilibré, surtout à l'approche des vacances ! C'est ainsi que l'on risque d'installer des kilos yo-yo qui, au fil des années, augmentent et deviennent de plus en plus difficiles à chasser.

 

Mon conseil : Ne vous lancez pas dans un régime drastique après un accouchement. Attendez que votre corps ait repris un rythme normal. Faites plutôt des abdos et des exercices renforçant le périnée. Si au bout de trois mois les kilos sont encore là, alors il faudra entreprendre de maigrir

 

A noter... Les œstrogènes peuvent induire une rétention d'eau et de sodium. On se sent alors « gonflée ». C'est une manifestation courante du syndrome prémenstruel. Tout rentre dans l'ordre dans la seconde partie du cycle.

 

Comment éviter les kilos yo-yo ?

Origines

Les "kilos yo-yo" font référence au cycle de perte et de regain de poids, souvent lié à des régimes alimentaires restrictifs ou "régimes à la mode". Ces régimes entraînent souvent une perte de poids rapide, mais lorsque l'on revient à une alimentation normale, le poids perdu est souvent regagné, voire dépassé.

Causes

  1. Régimes restrictifs: Les régimes qui coupent radicalement les calories peuvent entraîner une perte de poids rapide, mais ils sont difficiles à maintenir sur le long terme. Quand une personne retourne à ses habitudes alimentaires habituelles, le poids est souvent repris.

  2. Manque d'exercice régulier: L'exercice physique régulier aide à maintenir une perte de poids durable, mais de nombreux régimes à la mode négligent cet aspect.

  3. Facteurs psychologiques et émotionnels: Le stress, l'ennui, la solitude et d'autres facteurs émotionnels peuvent conduire à des comportements alimentaires émotionnels, contribuant à l'effet yo-yo.

Solutions et traitements

  1. Adopter une approche à long terme: Plutôt que de se concentrer sur un régime alimentaire restrictif à court terme, adopter une approche de mode de vie sain à long terme est plus bénéfique. Cela comprend une alimentation équilibrée et une activité physique régulière.

  2. Alimentation équilibrée: Manger une variété d'aliments nutritifs à chaque repas, y compris des fruits et légumes, des protéines maigres, des graisses saines et des glucides complexes.

  3. Exercice régulier: L'exercice aide à brûler des calories et à construire du muscle, ce qui peut augmenter votre métabolisme et vous aider à maintenir une perte de poids.

  4. Gestion du stress: Apprendre des techniques de gestion du stress, comme la méditation ou le yoga, peut aider à contrôler les comportements alimentaires émotionnels.

Diététique

Au lieu de suivre un régime restrictif, il est plus bénéfique de suivre un plan alimentaire équilibré et durable à long terme. Cela comprend:

  1. Manger une variété de fruits et légumes chaque jour.
  2. Inclure des sources de protéines maigres comme la viande maigre, la volaille, le poisson, les œufs, les légumineuses et les noix.
  3. Opter pour des glucides complexes comme les céréales complètes, le riz brun et les patates douces.
  4. Inclure des graisses saines provenant de sources comme les avocats, les noix, les graines et l'huile d'olive.
  5. Limiter la consommation d'aliments riches en sucre, en sel et en graisses saturées.
  6. Boire beaucoup d'eau et limiter les boissons sucrées.

Les kilos dits « yo-yo » sont un cauchemar, la plaie du poids.  Il faut absolument les éviter car ils sont dangereux pour la santé et conduisent trop souvent à une vraie obésité. Comment s'en débarrasser ?

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Qu'est-ce que les « kilos yo-yo » ? 
Il s'agit des 3 ou 4 kg (ou plus) perdus lors d'un régime et repris ensuite. La succession des régimes amincissants, plus ou moins drastiques, enchaîne des kilos perdus et inévitablement retrouvés. On a constaté qu'au fil des années, la reprise de poids était plus importante que la perte. Mais aussi que l'amaigrissement devenait de plus en plus difficile. On élimine 3 kg, on en reprend 5 et, au régime suivant, on en perd 2 et on en retrouve 6 ou 7.

Le corps se venge 
Dès le premier régime que vous lui imposez, votre corps garde en mémoire qu'il a été privé de calories et d'énergie et qu'il en a été malmené car il n'avait plus à sa disposition tous les nutriments dont il avait besoin. 
Lors du régime suivant, il sait qu'il va être de nouveau bousculé. Alors il réagit naturellement : il fait des économies en diminuant sa dépense énergétique. De ce fait, le régime suivant est moins efficace : vous maigrissez moins que lors du premier, car votre corps dépense ses calories avec davantage de parcimonie que précédemment.

Une inopportune provision d'énergie 
Mais, comme il est prudent, votre corps va aussi faire provision d'énergie, au cas où la période de vaches maigres reviendrait. Et, le régime terminé, non seulement il ne renonce pas à ses économies d'énergie, mais il accentue le processus de stockage. C'est ainsi que l'on reprend plus de kilos que l'on en a perdus. Comme ils sont de plus en plus difficiles à déloger, ils s'accumulent et conduisent souvent à l'obésité.

Dangereux pour le cœur 
Une étude de référence se déroule aux États-Unis depuis une quarantaine d'années sur plusieurs milliers de femmes. Elle démontre à quel point ces kilos effacés et repris mettent la santé en péril. On a constaté que celles qui avaient ainsi joué avec leur poids mourraient plus jeunes que les autres. Ces maudits kilos yo-yo augmentent en effet le risque de maladies cardiovasculaires. Le taux de « bon » cholestérol s'abaisse tandis que les kilos s'accumulent.

Comment les éviter ? 

  • En ne plongeant jamais dans un «régime miracle», d'où qu'il vienne, même d'un médecin 
  • En adoptant un régime hypocalorique équilibré qui permet de maigrir mais qui rééduque en même temps les habitudes alimentaires
  • En maigrissant doucement, pas plus d'un ou deux kilos par mois. Ainsi votre corps s'habitue progressivement à la restriction calorique et ne se «vengera» pas
  • En ayant une activité physique régulière, ne serait-ce que de marcher tous les jours.

Comment les éliminer ? 

Tout d'abord, il est indispensable de faire son examen de conscience, c'est-à-dire un bilan alimentaire. Ainsi, vous saurez ce qui cloche et qui vous fait grossir. Quand on comprend ses erreurs, on sait comment y remédier. Ensuite, vous devez adopter un régime hypocalorique équilibré, choisi en fonction des résultats de votre bilan. En même temps, vous devez augmenter vos dépenses énergétiques de façon à ce que la différence entre les entrées et les sorties soit plus importante. Enfin, il faut s'armer de patience et de courage. Ces kilos yo-yo sont difficiles à déloger. Mais on y arrive !

 

Compensation 
On reprend d'autant plus vite du poids qu'après un régime très privatif,  on est frustrée et affamée.  Comme on a bien maigri, on se rattrape et on mange de plus belle, parfois d'ailleurs avec mauvaise conscience...
 

 A noter...  Regrossir après un régime express, c'est logique. Quand on l'arrête, on reprend les habitudes alimentaires d'avant. Or, ce sont celles qui faisaient prendre du poids.

 

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Mon conseil : Plus le premier régime est précoce, à l'adolescence, voire dès la sortie de l'enfance, plus les risques de yo-yo sont importants. Ne laissez jamais votre fille entreprendre un amaigrissement sauvage, surtout si elle se trouve trop grosse malgré un poids normal. Le dialogue mère-fille est alors important.

 

L'influence du poids sur la vie génitale 

Origines

La prise de poids et l'obésité peuvent avoir un impact significatif sur la vie génitale et la santé sexuelle, à la fois chez les hommes et les femmes. Cette connexion est soutenue par un nombre croissant de recherches qui ont établi des liens entre le poids corporel et diverses questions de santé sexuelle.

Causes

Chez les femmes:

  1. Problèmes de fertilité: Les femmes en surpoids ou obèses peuvent avoir des cycles menstruels irréguliers, ce qui peut rendre la conception plus difficile. L'obésité est également liée au syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), une cause courante d'infertilité.

  2. Complications de grossesse: Les femmes en surpoids ou obèses ont un risque accru de complications pendant la grossesse, y compris le diabète gestationnel et l'hypertension.

Chez les hommes:

  1. Dysfonction érectile: Il a été démontré que l'obésité est un facteur de risque pour la dysfonction érectile. Cela peut être dû à une combinaison de problèmes physiques et psychologiques associés à l'obésité.

  2. Problèmes de fertilité: Les hommes obèses peuvent avoir une qualité de sperme réduite, ce qui peut affecter leur capacité à concevoir.

Solutions et traitements

  1. Perte de poids: Pour les personnes en surpoids ou obèses, la perte de poids est généralement la première étape recommandée pour améliorer la santé sexuelle. Cela peut nécessiter l'aide d'un professionnel de la santé pour établir un plan sûr et efficace de régime alimentaire et d'exercice.

  2. Activité physique: L'exercice régulier peut aider à la perte de poids, mais il peut également améliorer la fonction sexuelle en augmentant l'énergie, en améliorant l'humeur et en augmentant la circulation sanguine.

  3. Thérapie psychologique: Pour certains, l'obésité peut avoir des impacts psychologiques qui affectent la santé sexuelle. La thérapie peut aider à gérer ces problèmes.

Diététique

Une alimentation équilibrée est cruciale pour la perte de poids et la gestion du poids à long terme. Cela peut inclure une variété de fruits et légumes, des céréales complètes, des sources de protéines maigres, et des graisses saines. Il est également important de limiter la consommation de sucre, de sel et de graisses saturées, qui sont couramment trouvés dans les aliments transformés. La consommation d'alcool doit également être limitée, car elle est souvent riche en calories et peut contribuer à la prise de poids.

Puberté, contraception,  grossesse, ménopause influencent  votre poids. A l'inverse, celui-ci  peut aussi avoir une incidence  sur votre sexualité. De récentes études  montrent  que le poids joue en fait un rôle direct sur la vie génitale,  chez la femme  comme  chez l'homme.Homme ou femme, comment avoir le ventre plat et maigrir vite du ventre ? Le centre d’amincissement anti-âge Hélène Galé vous propose un remodelage minceur pour perdre du poids avec le Cellu M6®, la cryolipolyse mais aussi la presso thérapie pour un drainage lymphatique et soulager les jambes lourdes.

 

Poids et libido 

Une sexualité épanouie exige une harmonie avec soi-même. Pour beaucoup de femmes, cette harmonie est liée à l'image qu'elles ont de leur corps et donc, souvent, de leur poids. L'image idéale individuelle est marquée par l'histoire personnelle, familiale et culturelle. De la minceur extrême aux petites ou fortes rondeurs, du corps musclé et ferme aux formes lisses et souples, les critères de beauté varient selon les époques et les cultures. Notre monde d'opulence privilégie aujourd'hui la minceur comme facteur essentiel de séduction. Et, effectivement, retrouver un corps plus léger, plus facile à montrer ou à mettre en valeur, permet souvent de réveiller des désirs endormis.

À l'inverse, de nombreuses femmes constatent une diminution de leur appétit sexuel après une perte de poids notable et retrouvent du désir quand elles reprennent des kilos. Ce phénomène traduit la persistance d'une réalité génétique régie par des mécanismes hormonaux complexes : plus la femme possédait de réserves, plus elle était apte à faire des enfants dans un monde où la famine était plus fréquente que l'opulence, et plus elle partageait avec l'homme l'envie de se reproduire.

 

Poids et reproduction 

Découverte en 1994, la leptine est une hormone fabriquée par le tissu adipeux (la graisse) et les ovaires, dont on commence seulement à entrevoir le rôle. Outre sa fonction régulatrice de l'appétit, elle intervient directement dans la reproduction en favorisant l'implantation de la grossesse et en signalant au cerveau le niveau de réserves que le corps a constituées en vue de l'allaitement. Le taux sanguin de leptine augmente pendant la grossesse et diminue aussitôt après l'accouchement ainsi qu'à la ménopause. 
Les femmes dont la sécrétion de leptine est déficiente libèrent moins d'hormones hypophysaires, lesquelles stimulent les glandes sexuelles : elles ont une libido quasiment nulle, par simple manque d'intérêt, en plus d'une prédisposition à l'obésité et une puberté tardive.

 

Poids et puberté 

Un minimum de leptine, parmi d'autres facteurs, est nécessaire au maintien des règles : celles-ci disparaissent quand le poids descend en dessous de 40 kilos au cours d'une maladie chronique, d'une sous-alimentation prolongée ou d'une anorexie mentale. Le même phénomène s'applique à la puberté : la présence d'un minimum de tissu adipeux sécrétant la leptine est nécessaire. L'absence génétique de leptine peut même s'accompagner d'une absence de puberté. On évalue à 42 kilos le poids moyen à partir duquel le processus pubertaire se déclenche. C'est probablement la raison pour laquelle les filles un peu rondes débutent leur puberté plus tôt que celles qui sont menues. C'est aussi ce phéno- mène, associé à une meilleure alimentation, qui expliquerait que l'âge moyen de la puberté a diminué de près de deux ans depuis le début du XXème siècle.  De  même, le fait que les jeunes filles aient proportionnellement plus de tissu gras que les garçons justifie en partie le décalage qui existe entre les deux sexes quant à l'âge moyen de début de la puberté.

 

Chez l'homme

Le poids semble jouer un rôle inverse sur la libido masculine. Beaucoup d'hommes voient leur appétit sexuel diminuer ou disparaître quand ils prennent trop de poids, puis s'améliorer avec un régime. Ce phénomène est peut-être dû à un effet inhibiteur existant entre la leptine et la testostérone, l'hormone sexuelle masculine.

 

D'autres hormones :
Une autre hormone récemment découverte, la ghreline, agit également sur le poids, l'appétit, la maturation sexuelle, la croissance et la reproduction. Elle aurait un rôle opposé (ou modérateur) à celui de la leptine sur le cerveau. D'autres molécules encore mal connues (GIP, NPY, MCH) pourraient compléter cette famille d'hormones.
 

Mon conseil : Ne mettez pas votre libido en péril en voulant maigrir au-delà du raisonnable, surtout si vous projetez d'avoir un bébé. Et, si votre compagnon trop rond a des faiblesses, persuadez-le de contrôler son alimentation.

 

A noter... Pendant les périodes de grande famine ou de restriction alimentaire, le taux naturel de fécondité s'est toujours effondré, à taux égal d'activité sexuelle, avant de rebondir en période de réalimentation. Le monde moderne avec son opulence alimentaire et sa restriction volontaire des naissances est une anomalie dans l'histoire de l'humanité.

 

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