ÉDULCORANTS SONT ILS DANGEREUX ?

Origines

Les édulcorants sont des substituts du sucre qui ont été développés pour fournir de la douceur sans les calories du sucre. L'origine des édulcorants remonte au 19ème siècle avec la découverte de la saccharine. Depuis lors, de nombreux autres édulcorants ont été développés.

Histoire

La saccharine, le premier édulcorant artificiel, a été découverte par accident en 1879 par les chimistes Constantin Fahlberg et Ira Remsen. En 1884, Fahlberg a obtenu un brevet et a commencé la production de masse. Depuis lors, de nombreux autres édulcorants ont été développés, y compris l'aspartame, l'acésulfame K, la sucralose, le néotame et l'advantame.

Liste des édulcorants

Il existe plusieurs types d'édulcorants, dont :

  • Les édulcorants artificiels, comme l'aspartame, l'acésulfame K, la saccharine, la sucralose, le néotame, l'advantame et la cyclamate.
  • Les alcools de sucre, comme le xylitol, l'érythritol, le maltitol, le mannitol et le sorbitol.
  • Les édulcorants naturels à faible teneur en calories, comme la stévia et le moine.

Compositions

Les édulcorants varient en composition. Certains sont fabriqués à partir de composés naturels (comme la stévia, qui est dérivée de la plante Stevia rebaudiana), tandis que d'autres sont entièrement synthétiques (comme l'aspartame, qui est une combinaison de deux acides aminés, l'acide aspartique et la phénylalanine).

Sont-ils dangereux ?

Il y a eu beaucoup de controverses et de débats sur la sécurité des édulcorants. Certains études suggèrent qu'ils pourraient avoir des effets négatifs sur la santé, comme un risque accru de prise de poids, de diabète de type 2, de maladies cardiaques et d'autres problèmes de santé. Cependant, d'autres études n'ont pas trouvé de lien significatif entre la consommation d'édulcorants et ces risques.

Les organismes de réglementation sanitaires du monde entier, y compris la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis et l'Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) dans l'Union européenne, ont déclaré que les édulcorants sont sans danger pour la consommation humaine aux niveaux d'utilisation actuels.

Cependant, il est important de noter que, même si les édulcorants sont sans danger à consommer, cela ne signifie pas nécessairement qu'ils sont bénéfiques pour la santé. Certains édulcorants peuvent affecter le microbiote intestinal, ce qui peut avoir des implications pour la santé à long terme. De plus, il existe des préoccupations concernant l'effet des édulcorants sur l'appétit et la consommation de nourriture.

Dans l'ensemble, bien que les édulcorants soient généralement considérés comme sûrs, il peut être préférable de limiter leur consommation et de privilégier une alimentation équilibrée riche en aliments entiers et naturels.

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Risque de survenue de certaines pathologies chez les indivdus qui consomment quotidiennement des boissons "light".Maigrir 65000 tarbes 

 

Les bénéfices santé de ces substituts du sucre sont bien loin d'être prouvés. Par ailleurs, des doutes persistent sur leur innocuité en matière de santé.

La polémique dure depuis des années : oui ou non, les édulcorants sont-ils dangereux pour votre santé ? Oui ou non, s'avèrent-ils une aide à ceux qui veulent limiter leur consommation de sucre, notamment pour perdre du poids ?

En 2015, l'Agence nationale de la sécurité alimentaire (Anses) en France a balayé toutes les allégations santé prêtées aux édulcorants : « Les nombreuses études disponibles ne permettent pas de prouver que leur consommation présente un intérêt sur le contrôle du poids et de la glycémie chez les diabétiques ou sur l'incidence du diabète de type 2. » 
Dans son rapport, l'Anses enfonce le clou en précisant que certaines études soulignent la nécessité d'approfondir nos connaissances, non pas sur leurs bénéfices mais sur leurs risques nutritionnels.

« Depuis la publication de ce rapport, explique le Dr Pierre Nys, endocrinologue attaché des Hôpitaux de Paris, il est établi qu'une consommation régulière et prolongée d'aspartame (E 951), la star des édulcorants, conduit à des productions anormalement élevées d'insuline par les cellules du pancréas, tout comme le font les sucres à digestion rapide. Et cette production excessive d'insuline peut conduire à un syndrome métabolique favorisant obésité et/ou diabète. »

Nichés dans les produits alimentaires destinés aux diabétiques mais aussi dans les bonbons, crèmes glacées, certains chocolats... les sucres-alcool, sorbitol, mannitol, xylitol et autres substances de synthèse peuvent entraîner des troubles gastro-intestinaux (flatulences, diarrhées...), 
Par ailleurs, toujours dans le domaine digestif, une étude récente menée chez des souris a prouvé que l'aspartame, le sucralose (E 955) et la saccharine (E 954) modifient la composition de leur microbiote, autrement dit la nature des bactéries qui vivent dans leur intestin, provoquant chez ces dernières obésité et diabète. 
 

Une surconsommation de boissons à risque.

Les éventuels effets des édulcorants sur le cerveau ne sont, quant à eux, pas validés par les scientifiques. L'aspartame et le sel d'aspartame-acésulfame (E 962) libèrent, certes, de la phénylalanine dans le sang après digestion : mais cela ne pose aucun problème chez la grande majorité des gens car cet acide aminé est rapidement dégradé. En revanche, chez les personnes atteintes d'une maladie génétique rare, la phénylcétonurie, cette dégradation n'est pas fonctionnelle et la phénylalanine s'accumule. A haute dose, elle attaque les neurones. Quant à la mise en cause de l'aspartame dans le déclenchement de crises d'épilepsie ou de migraines, aucune étude ne l'a encore validée à ce jour.

 

Et les cancers ?

Depuis la fin des années 1970, on suspecte les édulcorants d'être cancérigènes car leur consommation de plus en plus importante a été suivie par une explosion des cas de ces maladies aux Etats-Unis. Aujourd'hui, après une foule d'études, ils paraissent innocentés, du moins pour les cancers du cerveau et des systèmes urinaire et digestif. Cependant, des travaux de 2012 suggèrent à nouveau un lien entre la consommation importante d'aspartame et l'apparition de cancer du sang et de la lymphe, travaux qu'il va falloir poursuivre pour en avoir le cœur net.

Pour Jean-François Narbonne, professeur de toxicologie, ancien expert de Anses, il faut sensibiliser les gens aux risques potentiels de surconsommation, aussi bien nutritionnels que toxicologiques. Et pour commencer, diviser par 10 la dose journalière admissible (DJA) de l'aspartame. Aujourd'hui, vous pouvez boire des litres de soda light sans jamais atteindre ce seuil "officiel". Pourquoi prendre alors des risques sachant que le bénéfice des édulcorants pour prévenir le diabète et l'obésité n'a pas atteint son objectif.

 

LES ADDITIFS ALIMENTAIRES : DES SUBSTANCES AJOUTÉES SANS VALEUR NUTRITIONNELLE.

Revenons sur quelques définitions.

Les additifs alimentaires sont des substances ajoutées aux aliments pour des raisons "technologiques" et non nutritionnelles : pour en allonger la conservation, en augmenter le goût, en modifier la texture ou l'aspect. Ils peuvent être d'origine naturelle (minérale, végétale ou animale) ou de synthèse. On compte aujourd'hui environ 320 additifs autorisés dans l'Union européenne ! Ils sont identifiés par un numéro précédé de la lettre "E" et classés en 24 catégories, dont les principales sont : les colorants (El XX) ; les conservateurs (E2XX), qui freinent le développement de micro-organismes comme des moisissures ou des bactéries pathogènes ; les antioxydants (E3XX), qui réduisent les phénomènes de rancissement des matières grasses ou de brunissement des fruits et des légumes coupés ; les agents de texture (E4XX), comme les émulsifiants, qui maintiennent les mélanges eau-huile dans les sauces, par exemple. Dans les additifs E5XX, on trouve des épaississants, des acidifiants. Les E6XX sont des exhausteurs de goût, qui rehaussent la saveur des aliments et dont le plus célèbre est le glutamate. Les édulcorants sont codés E9XX. Si les dénominations "EXXX" ne sont pas explicites quant à la nature de la substance en question, elles ont le mérite de permettre ( repérer au premier coup d'œil les additifs dans des listes d'ingrédients parfois interminable.

Mais les industriels n'ont pas l'obligation de les utiliser, ils peuvent choisir de donner le nom chimique de la substance. Ils doivent néanmoins toujours préciser à quelle catégorie d'additifs on a affaire : émulsifiant, conservateur, colorant...Ainsi, les additifs trouvés dans une bûche glacée au chocolat Viennetta peuvent s'écrire "émulsifiants (mono et diglycérides d'acide gras, phosphatides d'ammonium), stabilisants (farine de graines de caroube, gomme guar, carraghénanes )» ou «émulsifiants : E471, E4A stabilisants : E410, E412, E407».

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Vous avez raison de vous méfier des additifs !

 

UNE AUTORISATION SOUMISE A CONDITIONS 

La législation européenne fonctionne sur le principe d'une "liste positive" : tout ce qui ne figure sur la liste est interdit. Chaque additif autorisé l'est pour un ou plusieurs groupe d'aliments précis : par exemple, parmi les produits céréaliers, il peut être autorisé seulement pour les graines entières, ou pour les farines, ou pour les céréales de petit déjeuner, ou encore pour les pâtes.
La Commission européenne rappelle qu' un additif alimentaire ne peut être autorisé que s'il remplit les conditions suivantes :

  • sur la base des données scientifiques disponibles, il ne présente pas de risques pour la santé du consommateur aux doses proposées,
  • il répond à un besoin technologique valable qui ne peut pas être satisfait par d'autres moyens.
  • son utilisation n'induit pas en erreur le consommateur et doit présenter un intérêt pour ce dernier. 

Chacun de ces trois critères appelle déjà des questions : les données scientifiques « disponibles » sur lesquelles s'appuie l'évaluation du risque sont-elles suffisantes et fiables ? Colorer un aliment répond-il vraiment à un « besoin » ? Et l'utilisation d'exhausteurs de goût n'est-elle pas une tromperie au détriment du consommateur, visant à masquer le manque de saveur et de qualité d'un produit ?

UN DOSSIER D'ÉVALUATION A LA CHARGE DU PRODUCTEUR 

Du point de vue des données scientifiques, le règlement européen prévoit que « l'autorisation de mise sur le marché des substances doit être précédée d'une évaluation scientifique indépendante, du plus haut niveau possible, des risques qu'elles présentent pour la santé humaine ». Une indépendance toute relative, puisque l'Afsa évalue l'innocuité des additifs alimentaires à partir d'un dossier fourni par le demandeur lui-même (en général, le producteur de l'additif en question ou un utilisateur potentiel de cet additif). 
Ce dossier fourni par le demandeur comprend un certain nombre de données obligatoires : la dénomination chimique de l'additif, son processus de fabrication, les méthodes d'analyse utilisées, les éventuelles réactions et le devenir de cette substance dans les denrées alimentaires, la raison pour laquelle l'additif est employé, ses utilisations proposées et les données toxicologiques. Ces informations toxicologiques concernent la façon dont l'additif entrera ou non dans l'organisme, comment il sera ou non digéré ou métabolisé dans le corps, sa toxicité subchronique (de 28 à 90 jours) et chronique (au- delà de 90 jours), son potentiel cancérogène et génotoxique (modification de l'ADN), sa toxicité pour la reproduction ou pour le développement de l'embryon et du fœtus et, le cas échéant, d'autres études complémentaires.

VOUS AVEZ RAISON DE VOUS MÉFIER DES ADDITIFS!

Les additifs alimentaires font l'objet d'une évaluation européenne avant leur mise sur le marché. Mais leurs effets sur la santé suscitent toujours des interrogations, à juste titre.

« Vous n'avez pas besoin de bouffer cette merde ! » C'est avec un langage fleuri que le député européen José Bové s'était lancé, il y a quelques semaines, dans un combat contre les M&M's et les chewing-gum Hollywood. Dans sa ligne de mire : plus précisément E171 qu'ils contiennent. Ce nom de code est celui du dioxyde de titane, un additif alimentaire de la catégorie des colorants II est utilisé par les industriels pour rendre les sucreries plus blanches et plus brillantes.

Alors, si l'éclat d'un M&M's vous met l'eau à la bouche, de la coupe aux lèvres, vous serez peut-être tenté de laisser une certaine distance... Selon l'eurodéputé, ce dioxyde de titane serait cancérogène, car il serait fait de nanoparticules, dont la taille se compte en millionièmes de millimètre et qui pénètrent facilement dans les cellules. Des études scientifiques ont ainsi démontré que ces nanoparticules ont un effet inflammatoire sur les poumons lorsqu'elles sont inhalées, au même titre que l'amiante.

DES DOUTES SUBSISTENT SUR LA NATURE ADDITIFS

Qu'en est-il quand elles sont ingérées ?
Depuis 1988, les additifs alimentaires font l'objet d'une procédure harmonisée à l'échelle européenne. Avant d'être autorisés ou non, les additifs sont soumis à évaluation par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Afsa). Interrogée sur la question, l'Afsa affirme que le dioxyde de titane utilisé comme additif se présente sous la forme de microparticules, 1 000 fois plus grosses, et par conséquent sans danger. L'Autorité confesse aussi que ces préparations d'additifs contiennent une part d'impuretés sous la forme de nanoparticules, dans des proportions inconnues.

 Des doutes sur la nature des additifs, des interrogations sur leurs effets sur la santé... Ce flou a de quoi inquiéter. Et cet E171 n'est que le dernier exemple médiatique de la longue liste des additifs qui préoccupent les consommateurs. Les réponses ne sont ni simples ni uniques tant les additifs sont variés, et les connaissances scientifiques parfois insuffisantes ou contradictoires.

 

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