Les maladies liées aux radicaux libres - Partie 5
L’aide apportée par les antioxydants

Trois affections ophtalmologiques

L’œil tout comme la peau est un organe en contact permanent avec la lumière. La rétine est en outre une grande consommatrice d’oxygène. Ces deux  facteurs rendent les personnes âgées tout particulièrement exposées aux phénomènes radicalaires. Mais c’est souligner également que ces affections en grande partie liées au vieillissement peuvent être en partie préve­nues ou améliorées par les antioxydants.

 

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Glaucome

L’œil baigne dans un liquide, l’humeur aqueuse qui le protège en lui servant d’amortisseur. La pression moyenne de ce liquide se situe entre 10 et 20 mm de mer­ cure, son augmentation autour de 40 mm entraîne ce qu’on appelle un glaucome. Cette maladie peut se révéler par un trouble de la vision ou une douleur habituellement dans un seul œil, accompa­gnés ou non d’une sensation de malaise général avec nausées ou vomissements. Le glaucome peut également se déclencher de façon brutale, constituant alors une véritable urgence médicale, mais il est le plus souvent une maladie chronique qu’il est IMPÉRATIF de traiter sous peine de perdre la vision.

 

Radicaux libres et glaucome

Le glaucome est lié à une attaque des radicaux libres contre les pro­téines du collagène qui protège l’œil. Cette modification de sa composition a pour conséquences d’augmenter la pression de l’hu­meur aqueuse et d’entraîner la maladie.

Antioxydants et glaucome

  • La vitamine C est efficace pour maintenir la structure chi­mique du collagène de l’œil. Des doses de l’ordre de un à deux grammes par jour sont souvent préconisées mais certains, atteints d’un glaucome chronique et mal contrôlé, n’hésitent pas à doubler voire tripler ces chiffres.
Vous trouvez principalement la  vitamine C dans les agrumes (citron, orange, pamplemousse...), les légumes verts (céleri, chou  vert, cresson, oseille, persil, raifort...), les fruits (cassis, kiwi...) surtout rouges (fraise, framboise, groseille...), la pomme de terre, le poivron, la tomate. Les doses importantes ne peuvent être obtenues qu ’en recourant aux spé­ cialités de pharmacie.
 
  • Les flavonoïdes jouent un rôle de complément intéressant. Les flavonoïdes se trouvent surtout dans les agrumes (citron, orange, pamplemousse), l’airelle, la myrtille, le raisin, le thé, le vin rouge.
  • Le ginkgo biloba est très efficace et mérite d’être proposé presque systématiquement.

Cataracte

Cette complication ophtalmologique fréquente est liée à une opacification du cristallin. Elle touche près de 200 000 personnes par an en France. Elle peut être congéni­ tale, due à une infection ou au diabète mais elle est le plus souvent une forme de vieillissement des tissus de l’œil. Il n’existe pas de trai­tement autre que chirurgical. L’attitude des médecins est donc malheureusement bien souvent d’attendre le bon moment pour proposer ce geste véritablement salvateur.

 

Radicaux libres et cataracte

La cataracte est liée à un phénomène de peroxydation contre les graisses de la membrane du cristallin. Sous l’effet du soleil, du tabac, des médicaments... des radicaux libres se forment et provo­ quent l’apparition d’un pigment dense qui opacifie progressive­ ment le cristallin, et diminue la vision jusqu’à la supprimer. Ils s’attaquent également à l’ADN, au patrimoine génétique, ce qui aboutit à la formation de nouvelles cellules pas strictement iden­tiques aux anciennes, légèrement plus grandes, de contours moins réguliers, ce qui aggrave encore les lésions. La cataracte progresse régulièrement et sans possibilités d’amélioration autres que les anti­ oxydants.

 

Antioxydants et cataracte

  • Une étude effectuée en Finlande entre 1966 et 1984 a mis en évidence une relation entre l’abaissement des taux sanguins de vita­mine E et de bêtacarotène, et l’augmentation de fréquence des cata­ractes. Une consommation accrue de bêtacarotène ou de vitamine E a d’ailleurs permis de réduire significativement le nombre des cas. La prise régulière de multivitamines diminue par trois le risque de cataracte alors que des doses quotidiennes de 400 U.I. de vitamine E le diminuent par deux.
Vous avez à votre disposition de nombreuses spécialités qui contiennent les vitamines A, C et E : Azedavit®, Forvital® (riche en vitamine C), Pharmaton®, Plényl®, Quotivit OE®, Supradyne®, Survitine®, Synergyl®, Vivamyne®, Zédène® C 600 (riche en vitamine C)... Vous pre­nez un comprimé ou une capsule par jour en cures courtes et répétées.
 
  • La concentration de vitamine C à l’intérieur du cristallin est de 20  à 40  fois supérieure à la concentration  sanguine, elle est très abaissée au cours de la cataracte. Une action protectrice sur le cris­ tallin est obtenue au moyen d’une supplémentation de 300 mg de vitamine C par jour, sur de longues périodes.

 

Une telle concentration de vitamine C dans l’œil n’est pas le simple fait du hasard : elle est là pour protéger le cristallin et préserver la qualité de la vision.
 
  • Le glutathion est très impliqué dans le piégeage des radicaux libres puisqu’il est le constituant principal de la glutathion-peroxydase. Il est également important d’apporter du sélénium qui régé­nère le glutathion, dont il est un des cofacteurs. Les patients atteints de cataracte ont des taux sanguins très bas en glutathion, ce qui favorise les dégâts occasionnés par les radicaux libres. Les aliments suivants sont intéressants pour augmenter le glutathion dans l’organisme : ail, asperge, artichaut, avocat, betterave, brocoli, cannelle, carotte, choux divers, haricot, noisette, œuf, oignon, pissenlit, poire, pomme. Le sélénium se trouve surtout dans les abats, l’ail, les céréales com­plètes, le chou, les germes de blé, la levure de bière, l’œuf, la viande.
  • Des taux bas des vitamines C et E, du glutathion se retrouve chez les patients atteints de cataracte : plus les apports alimentaires sont riches en antioxydants, moins le risque est grand de dévelop­per une cataracte.
  • Les flavonoïdes qui bloquent la production d’aldolase freinent l’opacification du cristallin, ils sont donc bien entendu à proposer de façon très régulière. Les flavonoïdes se trouvent principalement dans les agrumes, la cerise, la myrtille, l’oignon, la pomme, le raisin, le thé, le vin rouge... La cataracte est une maladie qui met des années à se développer. L’absence de traitement médical en dehors des antioxydants doit inciter à les proposer (presque) SYSTÉMATIQUEMENT sur de longues périodes. Il est souvent difficile de motiver des patients pour des affections d’évolution très lente mais vous aurez compris qu’ici, encore plus qu’ailleurs, le jeu en vaut la chandelle. Alors à vos fruits, vos légumes, vos compléments vitaminés.

 

Dégénérescence maculaire

Au centre de la rétine se trouve la zone la plus noble de l’œil appelée macula, qui concentre les cônes, cellules spécialisées de l’œil chargées de recevoir les rayons de lumière vive. La maladie se traduit par une diminution progressive et irréversible de la vision centrale puis de l’acuité visuelle. Elle s’aggrave de façon arithmétique avec l’âge : 2 % des personnes de 55 ans, 20 % des 65 ans, 30 % des 75 ans sont touchées par la dégénérescence maculaire. Il convient de traiter tôt et longtemps, d’autant que les mesures sont simples et grandement bénéfiques.

 

Radicaux libres et dégénérescence maculaire

La macula reçoit les rayons de lumière. Dans certaines circons­tances, les pigments de la rétine peuvent être absents ou endomma­gés, et n’exercent plus leur fonction de filtre. Les rayons lumineux arrivent alors directement et libèrent des radicaux libres qui atta­quent les cellules de la macula. La région externe de la rétine est en effet très riche en acides gras poly-insaturés particulièrement sen­sibles à la peroxydation des membranes par les radicaux. Ces der­niers provoquent des minicicatrices, favorisent l’accumulation  de débris cellulaires qui perturbent le transport de la vitamine A pour­ tant nécessaire à la régénération des pigments qui ont absorbé la lumière. Les lésions sont aggravées par la formation de petits capil­laires qui enlèvent encore à la rétine un peu plus de son rôle de pro­tection. Cette néovascularisation, conséquence des modifications de l’ADN, participe à la pérennisation  des symptômes. Le laser est d’ailleurs souvent proposé pour détruire ces petits vaisseaux.

 

Il est essentiel d’agir le plus précocement possible pour éviter à la fois des lésions trop importantes de la macula et la formation de ces petits capillaires.

La fumée d’une cigarette gardée au coin des lèvres, l’exposition au soleil sans lunettes sont des facteurs aggravants puisqu’ils augmentent la concentration des radicaux libres dans l’œil.

 

Antioxydants et dégénérescence maculaire

Le tabac fabrique des radicaux libres, ce qui diminue la concentra­ tion des vitamines E, C et des caroténoïdes. Le soleil dans l’œil consomme beaucoup de pigments jaunes, lutéine et xanthine. Les mécanismes de Le centre d’amincissement Hélène Galé, votre COACH DIETETIQUE ET MINCEUR ANTI-AGE vous permet de maigrir vite et bien. Ainsi, vous allez perdre du ventre rapidement. Grâce à l’ENDERMOLOGIE Cellu M6®, à la radiofréquence, la cavitation et le vacum, votre cellulite sera détruite.défense locaux demandent par conséquent à être renforcés, précisément par les antioxydants, qui s’activent à expul­ser l’hydrogène peroxyde formé en grandes quantités.

  • Une première étude effectuée il y  a une dizaine d’années a confirmé que le risque d’apparition de cette maladie était inverse­ ment proportionnel à la consommation de caroténoïdes puisqu’ils aident à régénérer les pigments de la rétine. Parmi les carotènes, la lutéine dont on trouve des quantités notables dans la rétine, est la substance la plus importante. La xanthine qui participe à l’absorption des ultraviolets par les cellules de la rétine doit elle aussi être présente et en quantités suffisantes. Certains ont même été jusqu’à parler de « lunettes naturelles »  pour désigner ces deux  caroté­ noïdes, ce qui en souligne l’importance.
  • Les flavonoïdes et particulièrement ceux  contenus dans la myrtille sont d’excellents protecteurs vasculaires qui régulent la microcirculation et renforcent la résistance capillaire.
Les flavonoïdes jaunes se trouvent dans les organes jeunes et les parties aériennes des plantes. Abondants dans les agrumes, les légumes verts (brocoli, chou, épinard, haricot, salade...) et dans les fruits, ils sont concentrés dans la peau.
Les flavonoïdes rouges (anthocyanes) sont retrouvés dans les feuilles, les fleurs, les fruits, leur conférant suivant le pigment qu'elles contiennent, une couleur bleue, rouge ou violette. On les trouve principalement dans les fruits rouges (cassis, mûre, myrtille, raisin...) mais également dans la betterave.
 
  • Le sélénium et le glutathion sont au plus bas, ils doivent être apportés de façon impérative pour permettre à la glutathion-per-oxydase de fonctionner. Le sélénium se trouve surtout dans les aliments d'origine animale, la viande (foie, rognons), les poissons de mer (hareng, thon...), les huîtres, les œufs, mais aussi dans les céréales complètes, les germes de blé, la levure de bière, certains légumes (ail, brocoli, carotte, champignon). Le glutathion peut augmenter au moyen des aliments suivants : ail, artichaut, asperge, avocat, betterave, brocoli, cannelle, carotte, chou(x), haricot, noisette, œuf, oignon, pissenlit, poire, pomme.
  • La consommation régulière de 400 U.I. de vitamine E divise par deux le risque de dégénérescence maculaire.
  • Le zinc est l’oligo-élément le plus abondant dans l’œil mais sa concentration a tendance à diminuer avec l’âge. Il est impératif de veiller à des apports suffisants de l’ordre de 25 à 50 mg par jour. Plusieurs études ont montré qu’il ne pouvait bien sûr pas guérir cette maladie, mais qu’il en freinait de façon indiscutable l’évolu­tion... surtout s’il était associé aux autres antioxydants.
Le zinc est répandu  dans de très nombreux aliments mais surtout dans les huîtres et coquillages, le poisson. Vous le trouvez aussi dans les céréales, le foie gras, le gingembre, le jaune d'œuf, la levure de bière, la noix, le pain  complet, le pâté de foie, la  viande... et quelques légumes (brocoli, champignon, épinard, haricot).
 
  • Le ginkgo biloba  agit sur les capillaires qui ont colonisé la rétine : il améliore la circulation et facilite le débit en ouvrant les vaisseaux, mais surtout il répare les petites lésions dues aux radicaux libres.

 

L’amélioration de la vision et la prévention des maladies dégéné­ ratives des yeux passe par une alimentation variée et équilibrée et la consommation des suppléments suivants :

  • vitamines C et E
  • caroténoïdes
  • flavonoïdes
  • glutathion
  • sélénium
  • zinc
  • huiles de poissons
  • ginkgo biloba

 

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