Les antioxydants sont des substances qui aident à protéger les cellules contre les dommages causés par les radicaux libres, les molécules instables présentes dans notre corps. Les radicaux libres peuvent endommager les cellules et les tissus, ce qui contribue à l'apparition de diverses maladies, y compris celles du système nerveux.
La maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson sont deux maladies neurodégénératives qui affectent le système nerveux, bien qu'elles diffèrent dans leurs symptômes et leurs mécanismes sous-jacents.
La maladie d'Alzheimer est caractérisée par une dégradation progressive de la mémoire, des troubles cognitifs et des changements de comportement. Les recherches révèlent qu'une accumulation anormale de protéines bêta-amyloïdes dans le cerveau, ainsi qu'une inflammation et un stress oxydatif, contribuent au développement de la maladie. Les antioxydants peuvent potentiellement aider à réduire les dommages oxydatifs et l'inflammation, offrant une certaine protection contre la progression de la maladie. Cependant, il convient de noter que les études sur l'efficacité des antioxydants dans le traitement de la maladie d'Alzheimer ont donné des résultats mitigés jusqu'à présent, et de plus en plus de recherches sont nécessaires pour mieux comprendre leur rôle.
La maladie de Parkinson est caractérisée par des troubles du mouvement, tels que la rigidité musculaire, les tremblements et la difficulté à marcher. Elle est causée par la dégénérescence des cellules nerveuses responsables de la production de dopamine, un neurotransmetteur essentiel impliqué dans la régulation des mouvements. Les mécanismes exacts de la maladie de Parkinson ne sont pas entièrement compris, mais le stress oxydatif et l'inflammation sont considérés comme des facteurs contributifs importants. Les antioxydants peuvent aider à neutraliser les radicaux libres et à réduire les dommages oxydatifs, offrant ainsi une certaine protection contre les cellules nerveuses. Cependant, comme pour la maladie d'Alzheimer,
Il est important de souligner que les antioxydants ne sont pas une solution miracle et ne peuvent pas inverser complètement les effets de ces maladies neurodégénératives. Leur rôle exact dans la prévention et le traitement de ces affections reste un sujet de recherche active, et il est recommandé de consulter un professionnel de la santé avant de prendre des suppléments d'antioxydants ou de modifier son régime alimentaire. D'autres approches thérapeutiques, telles que les médicaments spécifiques, la thérapie physique et occupationnelle, ainsi que le soutien social, sont souvent nécessaires pour gérer ces maladies de manière globale.
Lorsque l’on évoque le cerveau, deux maladies viennent immédiatement à l’esprit car elles sont, l’une le symbole de la démence qui nous angoisse presque tous, et l’autre l’image redoutée de la déchéance mentale et physique que véhicule pour beaucoup la vieillesse. Le cerveau pèse de 2 à 3 % du poids du corps, selon que la tête est plus ou moins grosse, mais il consomme de 20 et 30 % de l'énergie totale, ce qui montre à l'évidence l'importance d'une bonne irrgation et par conséquent le rôle essentiel de l'alimentation.
Cette maladie dont le nom terrifie les patients car elle est apparentée à la folie est très fréquente puisqu’elle toucherait plus de 300 000 per sonnes en France. Deux tiers des cas ne seraient pas diagnostiqués car l’apparition des symptômes est terriblement insidieuse. La maladie d’Alzheimer, du nom du médecin allemand qui l’a décrite au début du siècle, atteint 5 % des plus de 65 ans, 20 % des plus de 80 ans.
Le diagnostic est habituellement fait autour de 77 ans, marqué par des troubles de la mémoire ou des manifestations psycho comportementales (changements de personnalité, absences, fugues, difficultés récentes du langage...).
Des tests pratiqués en milieu spécialisé confirment le diagnostic : ils portent sur les compétences, le fonctionnement social, la lecture, les tâches ménagères, la conversation, la mémoire, les déplacements, l’orientation et des actes plus spécifiques comme l’usage du téléphone ou le maniement de l’équipement de la maison.
La maladie d’Alzheimer est progressivement de mieux en mieux connue. Cette cause majeure d’invalidité dans une population dont l’espérance de vie (45 ans en 1900, 79 ans en 1998) ne cesse d’augmenter, constitue actuellement un problème de santé publique avec son retentissement indi viduel et collectif.
Rôle de l’acétylcholine sur la mémoire
Cette substance est un des principaux neurotransmetteurs (voir Lexique) de l’organisme et du cerveau. Elle est impliquée dans de nombreuses fonctions mentales et nerveuses. Les chercheurs ont d’abord pensé qu’elle pouvait être le neuromédiateur de la mémoire en partant d’une hypothèse simple : avec l’âge, l’organisme fabrique moins d’acétylcholine et apparaissent des pertes de mémoire et/ou des symptômes rattachés à la sénilité.
Il était tentant de faire le rapprochement entre ces deux faits, d’autant que les malades atteints présentent effectivement des taux très bas d’acétylcholine. Les expériences de supplémentation n'ont pas été concluantes parce que l’alimentation ne pouvait plus prétendre qu’à une fonction très palliative sur des neurones détériorés : il aurait probablement fallu agir plus tôt.
Radicaux libres et maladie d’Alzheimer
Longtemps considérée comme un désordre purement psychologique, la maladie est à présent rapportée à des dépôts amyloïdes issus d'une protéine qui se dépose sur les nerfs, les englue, les empêche de fonctionner. Lorsque l’alimentation n’apporte pas suffisamment d’acides gras essentiels, les cellules du cerveau (neurones) comblent ce manque en attaquant leurs propres membranes riches en graisses, ce qui déclenche et entretient le phénomène de destruction nerveuse.
Le cerveau a de plus en plus de mal à « imprimer ». Les événements anciens ne sont plus retrouvés, les nouveaux ne sont plus mémorisés, la pensée ou plus exactement l’expression d’une pensée logique devient très décousue et aléatoire. Les troubles du comportement s’installent, et sont vécus de façon très douloureuse et préoccupante par l’entourage. Vous trouvez les acides gras essentiels de type oméga-3 dans les huiles des poissons gras (anchois, hareng, maquereau, sardine, saumon, thon, truite) et certaines huiles végétales (colza, lin, noix, soja...).
Antioxydants et maladie d’Alzheimer
Vous trouvez le bêtacarotène surtout dans les végétaux : abricot, brocoli, carotte, chou, épinard, feuilles vertes des salades, mangue, melon, mûre, myrtille, pamplemousse rose, papaye, pastèque, patate douce, piment rouge++, potiron, tomate... Vous trouvez principalement la vitamine C dans les agrumes (citron, orange, pamplemousse..les légumes verts (céleri, chou vert, cresson, oseille, persil, raifort...), les fruits (cassis, kiwi...) surtout rouges (fraise, framboise, groseille...), la pomme de terre, le poivron, la tomate.
Vous trouvez la vitamine E surtout dans les huiles de germes de blé, de tournesol, d'olive, de mais, de colza..., le beurre, la margarine, les oléagineux (amande, noisette, noix, pistache...), les poissons gras, les légumes verts à feuilles (chou, persil...).
Aluminium et maladie d'Alzheimer
L'aluminium retrouvé en excès dans certaines zones du cerveau impliquées dans le phénomène de la mémoire semble jouer un rôle péjoratif sans qu'on ait actuellement de véritable certitude. L'aluminium est l'oligo-élément le plus utilisé dans l'industrie car il est à la fois léger et conduit bien l'électricité et la chaleur. Son rôle n'est pas très bien connu : il serait régulateur du sommeil et de la nervosité, agirait sur les retards psychomoteurs de l'enfant.
Absorbé en quantités infimes à la partie haute du tube digestif et par les poumons, il se concentre préférentiellement dans les reins, le foie, le cerveau (où la concentration augmente avec l'âge), les muscles, les glandes parathyroïdes, et la moelle osseuse. Il s'élimine principalement dans les urines mais aussi dans les selles. Il y a accumulation dans l'organisme lorsque les apports sont supérieurs à un gramme par jour. Il devient alors vite toxique surtout pour le cerveau, entraînant lors d'une intoxication aiguë des troubles psychiques graves, des difficultés d’élocution, des crises d'épilepsie, voire ries encéphalites... et peut-être la maladie d'Alzheimer lors d'une intoxication chronique.
Les ustensiles de cuisine, les additifs alimentaires, les pansements gastriques, les déodorants corporels sont susceptibles d'augmenter de façon non négligeable la quantité d'aluminium ingéré. Faites également attention aux aliments acides conservés dans du « papier alu ».
Les tremblements de la main, une démarche à tous petits pas, tronc légèrement penché en avant, une parole hésitante avec des trémulations dans la voix, sont quelques-uns des symptômes les plus caractéristiques de cette maladie qui frappe essentiellement des personnes âgées.
Radicaux libres et maladie de Parkinson
Cette affection est déclenchée par la mort de certaines cellules nerveuses (neurones) qui produisent un neurotransmetteur très important, la dopamine. Ces cellules sont facilement attaquées par le stress oxydatif car leur membrane est riche en acides gras.
La dopamine est fabriquée à partir d'un acide aminé « essentiel » : la phénylalanine. Cette réaction est activée grâce aux vitamines B6 et B9 et au magnésium. Dès que la dopamine est trop basse, certaines fonctions marchent au ralenti ce qui entraîne déprime, fatigue ou fatigabilité, goût pour rien. Dès que la dopamine remonte, la libido revient, la mémoire fonctionne à nouveau, le plaisir et l’appétit sont de retour.
Antioxydants et maladie de Parkinson
Le domaine des radicaux libres et des antioxydants ne cesse de s’étendre en neurologie, puisque l’on considère actuellement que certaines psychoses et même l’épilepsie pourraient également être en partie imputables et aggravées par le « stress oxydatif ». Les acides gras mono-insaturés de l’huile d’olive préviendraient la perte de mémoire et le déclin des facultés mentales.
Une étude récente a mis en évidence une diminution de la fréquence des crises convulsives chez des patients traités par l’addition de vitamine E à leurs médicaments anti-épileptiques. Les antioxydants en freinant l’oxydation des membranes des neurones joueraient ce rôle efficace. Il paraît donc légitime de prodiguer également des conseils nutritionnels aux patients épileptiques, même traités.
La prévention et l’amélioration de la plupart des affections neurologiques et en particulier des maladies d'Alzheimer et de Parkinson passent par une alimentation variée et équilibrée et une supplémentation à l’aide des nutriments suivants :
Vous trouvez les vitamines du groupe B surtout dans les céréales complètes, les champignons, les laitages, les légumes secs, la levure de bière, l'œuf, la viande (foie et abats). Les acides aminés soufrés sont surtout présents dans ail, asperge, chou, fruits de mer, haricot, lait et laitages, œuf, oignon, poireau, poisson, viande (canard)...
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