Les maladies liées aux radicaux libres - Partie 6
L’aide apportée par les antioxydants

Deux maladie du système nerveux

 

Les antioxydants sont des substances qui aident à protéger les cellules contre les dommages causés par les radicaux libres, les molécules instables présentes dans notre corps. Les radicaux libres peuvent endommager les cellules et les tissus, ce qui contribue à l'apparition de diverses maladies, y compris celles du système nerveux.

La maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson sont deux maladies neurodégénératives qui affectent le système nerveux, bien qu'elles diffèrent dans leurs symptômes et leurs mécanismes sous-jacents.

La maladie d'Alzheimer est caractérisée par une dégradation progressive de la mémoire, des troubles cognitifs et des changements de comportement. Les recherches révèlent qu'une accumulation anormale de protéines bêta-amyloïdes dans le cerveau, ainsi qu'une inflammation et un stress oxydatif, contribuent au développement de la maladie. Les antioxydants peuvent potentiellement aider à réduire les dommages oxydatifs et l'inflammation, offrant une certaine protection contre la progression de la maladie. Cependant, il convient de noter que les études sur l'efficacité des antioxydants dans le traitement de la maladie d'Alzheimer ont donné des résultats mitigés jusqu'à présent, et de plus en plus de recherches sont nécessaires pour mieux comprendre leur rôle.

La maladie de Parkinson est caractérisée par des troubles du mouvement, tels que la rigidité musculaire, les tremblements et la difficulté à marcher. Elle est causée par la dégénérescence des cellules nerveuses responsables de la production de dopamine, un neurotransmetteur essentiel impliqué dans la régulation des mouvements. Les mécanismes exacts de la maladie de Parkinson ne sont pas entièrement compris, mais le stress oxydatif et l'inflammation sont considérés comme des facteurs contributifs importants. Les antioxydants peuvent aider à neutraliser les radicaux libres et à réduire les dommages oxydatifs, offrant ainsi une certaine protection contre les cellules nerveuses. Cependant, comme pour la maladie d'Alzheimer,

Il est important de souligner que les antioxydants ne sont pas une solution miracle et ne peuvent pas inverser complètement les effets de ces maladies neurodégénératives. Leur rôle exact dans la prévention et le traitement de ces affections reste un sujet de recherche active, et il est recommandé de consulter un professionnel de la santé avant de prendre des suppléments d'antioxydants ou de modifier son régime alimentaire. D'autres approches thérapeutiques, telles que les médicaments spécifiques, la thérapie physique et occupationnelle, ainsi que le soutien social, sont souvent nécessaires pour gérer ces maladies de manière globale.

 

Lorsque l’on évoque le cerveau, deux maladies viennent immédiatement à l’esprit car elles sont, l’une le symbole de la démence qui nous angoisse presque tous, et l’autre l’image redoutée de la déchéance mentale et physique que véhicule pour beaucoup la vieillesse. Le cerveau pèse de 2 à 3 % du poids du corps, selon que la tête est plus ou moins grosse, mais il consomme de 20 et 30 % de l'énergie totale, ce qui montre à l'évidence l'importance d'une bonne irrgation et par conséquent le rôle essentiel de l'alimentation.

 

Maladie d'Alzheimer

 

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Cette maladie dont le nom terrifie les patients car elle est apparentée à la folie est très fréquente puisqu’elle toucherait plus de 300 000 per­ sonnes en France. Deux tiers des cas ne seraient pas diagnostiqués car l’apparition  des symptômes est terriblement insidieuse. La maladie d’Alzheimer, du nom du médecin allemand qui l’a décrite au début du siècle, atteint 5 % des plus de 65 ans, 20 % des plus de 80 ans.

Le diagnostic est habituellement fait autour de 77 ans, marqué par des troubles de la mémoire ou des manifestations psycho­ comportementales (changements de personnalité, absences, fugues, difficultés récentes du  langage...).

Des tests pratiqués en milieu spécialisé confirment le diagnostic : ils portent sur les compétences, le fonctionnement social, la lecture, les tâches ménagères, la conversation, la mémoire, les déplacements, l’orientation  et des actes plus spécifiques comme l’usage du téléphone ou le manie­ment de l’équipement de la maison.

La maladie d’Alzheimer est progressivement de mieux en mieux connue. Cette cause majeure d’invalidité dans une population dont l’espérance de vie (45 ans en 1900, 79 ans en 1998) ne cesse d’augmenter, constitue actuelle­ment un problème de santé publique avec son retentissement indi­ viduel et collectif.

 

Rôle de l’acétylcholine sur la mémoire

Cette substance est un  des principaux  neurotransmetteurs (voir Lexique) de l’organisme et du cerveau. Elle est impliquée dans de nombreuses fonctions mentales et nerveuses. Les chercheurs ont d’abord pensé qu’elle pouvait être le neuromédiateur de la mémoire en partant d’une hypothèse simple : avec l’âge, l’organisme fabrique moins d’acétylcholine et apparaissent des pertes de mémoire et/ou des symptômes rattachés à la sénilité.

Il était tentant de faire le rap­prochement entre ces deux faits, d’autant que les malades atteints présentent effectivement des taux très bas d’acétylcholine. Les expé­riences de supplémentation n'ont pas été concluantes parce que l’alimentation ne pouvait plus prétendre qu’à une fonction très palliative sur des neurones détériorés : il aurait probablement fallu agir plus tôt.

 

Radicaux libres et maladie d’Alzheimer

Longtemps considérée comme un désordre purement psycholo­gique, la maladie est à présent rapportée à des dépôts amyloïdes issus d'une protéine qui se dépose sur les nerfs, les englue, les empêche de fonctionner. Lorsque l’alimentation n’apporte pas suffisamment d’acides gras essentiels, les cellules du cerveau (neurones) com­blent ce manque en  attaquant leurs propres membranes riches en graisses, ce qui déclenche et entretient le phénomène de destruc­tion nerveuse.

Le cerveau a de plus en plus de mal à « imprimer ». Les événements anciens ne sont plus retrouvés, les nouveaux ne sont plus mémorisés, la pensée ou plus exactement l’expression d’une pensée logique devient très décousue et aléatoire. Les troubles du comportement s’installent, et sont vécus de façon très douloureuse et préoccupante par l’entourage. Vous trouvez les acides gras essentiels de type oméga-3 dans les huiles des poissons gras (anchois, hareng, maquereau, sardine, sau­mon, thon, truite) et certaines huiles végétales (colza, lin, noix, soja...).

 

Antioxydants et maladie d’Alzheimer

  • Les vitamines du groupe B sont retrouvées très basses et cette diminution intervient probablement pour favoriser ou aggraver les symptômes. Les personnes âgées sont volontiers carencées en vita­mines B, toutes les études et en particulier « Suvimax » le confir­ ment. L’apport en vitamines du  groupe B (B1, B3, B5, B6, B9, B12) est probablement la première mesure à prendre et certaine­ ment la plus performante pour tenter d’améliorer les fonctions intellectuelles.
  • Vous trouvez les vitamines B1, B3, B6  surtout dans les céréales, les œufs, le pain, le poisson, la viande. La vitamine B5 est surtout présente dans le lait et les laitages, les œufs, la viande, la vitamine B9 dans les céréales, les fruits frais, les légumes, le pain, la  vitamine B12 dans les œufs, le poisson, les produits laitiers, la viande.
  • Les vitamines A, C et E, volontiers très basses chez les patients atteints d’Alzheimer, doivent être apportées en quantités suffisantes par l’alimentation ou la supplémentation.

 

Vous trouvez le bêtacarotène surtout dans les végétaux : abricot, bro­coli, carotte, chou, épinard,  feuilles vertes des salades, mangue, melon, mûre, myrtille, pamplemousse rose, papaye, pastèque, patate douce, piment rouge++, potiron, tomate... Vous trouvez principalement la  vitamine C dans les agrumes (citron, orange, pamplemousse..les légumes verts (céleri, chou vert, cresson, oseille, persil, raifort...), les fruits   (cassis, kiwi...) surtout rouges (fraise, framboise, groseille...), la pomme de terre, le poivron, la tomate.

Vous trouvez la vitamine E surtout dans les huiles de germes de blé, de tournesol, d'olive, de mais, de colza..., le beurre, la  margarine,  les oléagineux (amande, noisette, noix, pistache...), les poissons gras, les légumes verts à feuilles (chou, persil...).

 

  • Le zinc est important car il aide à stopper la formation de la plaque amyloïde. Vous pouvez apporter des doses comprises entre 25 et 50 mg par jour. Le zinc est répandu dans de très nombreux aliments mais surtout dans les huîtres et coquillages, le poisson. Vous pouvez également le trouver dans les céréales, lefoie gras, le gingembre, le jaune d'œuf, la levure de bière, la noix, le pain complet, le pâté de foie, la  viande... et quelques légumes (brocoli, champignon, épinard, haricot).
  • Le sélénium permet de lutter contre les phénomènes inflam­ matoires qui sont la cause et la conséquence du dépôt des plaques d’amylose. Le sélénium se trouve surtout dans les aliments d'origine animale, la viande (foie, rognons), les poissons de mer (hareng, thon...), les huîtres, les œuf, mais aussi dans les céréales complètes, les germes de blé, la levure de bière, certains légumes (ail, brocoli, carotte, champignon).
  • Le ginkgo biloba améliore de façon spectacu­laire à la fois la circulation et la mémoire.

 

Aluminium et maladie d'Alzheimer

L'aluminium retrouvé en excès dans certaines zones du cerveau impli­quées dans le phénomène de la mémoire semble jouer un rôle péjoratif sans qu'on ait actuellement de véritable certitude. L'aluminium est l'oligo-élément le plus utilisé dans l'industrie car il est à la fois léger et conduit bien l'électricité et la chaleur. Son rôle n'est pas très bien connu : il serait régu­lateur du sommeil et de la nervosité, agirait sur les retards psychomoteurs de l'enfant.

Absorbé en quantités infimes à la partie haute du tube diges­tif et par les poumons, il se concentre préférentiellement dans les reins, le foie, le cerveau (où la concentration augmente avec l'âge), les muscles, les glandes parathyroïdes, et la moelle osseuse. Il s'élimine principalement dans les urines mais aussi dans les selles. Il y a accumulation dans l'orga­nisme lorsque les apports sont supérieurs à un gramme par jour. Il devient alors vite toxique surtout pour le cerveau, entraînant lors d'une intoxication aiguë des troubles psychiques graves, des difficultés d’élocu­tion, des crises d'épilepsie, voire ries encéphalites... et peut-être la mala­die d'Alzheimer lors d'une intoxication chronique.

 Les ustensiles de cuisine, les additifs alimentaires, les pansements gastriques, les déodorants corporels sont susceptibles d'augmenter de façon non négligeable la quan­tité d'aluminium ingéré. Faites également attention aux aliments acides conservés dans du « papier alu ».

 

Maladie de Parkinson

 

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Les tremblements de la main, une démarche à tous petits pas, tronc légèrement penché en avant, une parole hésitante avec des trému­lations dans la voix, sont quelques-uns des symptômes les plus caractéristiques de cette maladie qui frappe essentiellement des per­sonnes âgées.

 

Radicaux libres et maladie de Parkinson

Cette affection est déclenchée par la mort de certaines cellules ner­veuses (neurones) qui produisent un neurotransmetteur très impor­tant, la dopamine. Ces cellules sont facilement attaquées par le stress oxydatif car leur membrane est riche en acides gras.

La dopamine est fabriquée à partir d'un acide aminé « essentiel » : la phénylalanine. Cette réaction est activée grâce aux vitamines B6 et B9 et au magnésium. Dès que la dopamine est trop basse, certaines fonctions marchent au  ralenti ce qui entraîne déprime, fatigue ou fatigabilité, goût pour rien. Dès que la dopamine remonte, la libido revient, la mémoire fonctionne à nouveau, le plaisir et l’appétit sont de retour.
 
  • Attention à ne pas donner de fer en excès car son accumulation peut aggraver les lésions en générant des radicaux libres supplé­mentaires.

 

Antioxydants et maladie de Parkinson

  • Les vitamines E et le zinc, pris à doses suffisantes et assez long­ temps, protégeraient contre la survenue de cette maladie.
  • Il est également important de supplémenter en tyrosine, l’acide aminé précurseur de la dopamine.
Vous trouvez la tyrosine dans le blé (pain...), l'œuf, le pois chiche, le soja, la viande...

 

Conclusion pour les affections neurologiques

Le domaine des radicaux libres et des antioxydants ne cesse de s’étendre en neurologie, puisque l’on considère actuellement que certaines psychoses et même l’épilepsie pourraient également être en partie imputables et aggravées par le « stress oxydatif ». Les acides gras mono-insaturés de l’huile d’olive prévien­draient la perte de mémoire et le déclin des facultés mentales.

Une étude récente a mis en évidence une diminution de la fréquence des crises convulsives chez des patients traités par l’addition de vita­mine E à leurs médicaments anti-épileptiques. Les antioxydants en freinant l’oxydation des membranes des neurones joueraient ce rôle efficace.  Il paraît donc légitime de prodiguer également des conseils nutritionnels aux patients épileptiques, même traités.

La prévention et l’amélioration de la plupart des affections neu­rologiques et en particulier des maladies d'Alzheimer et de Parkinson passent par une alimentation variée et équilibrée et une supplémentation à l’aide des nutriments suivants :

  • acides gras essentiels
  • vitamines du groupe B
  • vitamines A, C et E
  • acides aminés soufrés
  • zinc
  • sélénium
  • ginkgo biloba.

Vous trouvez les vitamines du groupe B surtout dans les céréales complètes, les champignons, les laitages, les légumes secs, la levure de bière, l'œuf, la viande (foie et abats). Les acides aminés soufrés sont surtout présents dans ail, asperge, chou, fruits de mer, haricot, lait et laitages, œuf, oignon, poireau, poisson, viande (canard)...

 

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