La diversification alimentaire chez les jeunes

La diversification alimentaire est une étape importante du développement du nourrisson. Elle désigne le processus par lequel différents aliments et textures sont introduits progressivement dans l'alimentation du bébé, en complément du lait maternel ou du lait infantile. Cette étape commence généralement vers l'âge de 4 à 6 mois, mais le moment exact peut varier en fonction de chaque enfant et des recommandations du professionnel de santé.

Voici quelques principes clés de la diversification alimentaire :

  1. Commencez lentement : Au début, introduisez un nouvel aliment à la fois et attendez quelques jours avant d'introduire un autre. Cela permet de surveiller les signes d'intolérance ou d'allergie.

  2. Variété d'aliments : Tentez d'introduire une variété d'aliments pour familiariser votre enfant avec différentes saveurs et textures. Cela inclut les fruits, les légumes, les céréales, les protéines et les aliments riches en fer.

  3. Respectez l'appétit de l'enfant : Ne forcez pas votre enfant à manger s'il n'a plus faim. Cela aide à développer de bonnes habitudes alimentaires et à éviter la suralimentation.

  4. Assurez la sécurité : Évitez les aliments qui présentent un risque d'étouffement. Au début, les aliments doivent être écrasés ou mixés. À mesure que l'enfant grandit et développe ses capacités à mâcher, vous pouvez progressivement introduire des aliments coupés en petits morceaux.

  5. Alimentation familiale : Vers l'âge de 8 à 10 mois, votre bébé devrait être prêt à manger les mêmes aliments que le reste de la famille, en évitant les aliments trop salés ou sucrés. C'est également un bon moment pour commencer à introduire des repas réguliers et des collations.

Il est important de souligner que chaque enfant est différent et que le processus de diversification alimentaire peut varier.

 

Quand faut-il diversifier l'alimentation des bébés ? Les recommandations médicales ont beaucoup évolué en la matière. Aujourd'hui, les pédiatres conseillent de ne donner que du lait jusqu'à 4 mois révolus, puis de procéder très progressivement.

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L'évolution des recommandations 

Jusqu'à la fin des années 1950, l'allaitement exclusif durait entre un et deux ans. Puis la tendance fut à une diversification précoce, parfois dès l'âge de 3 mois : dans les années 1980, des études ont montré que cette précocité pouvait avoir des effets négatifs sur la santé, notamment sur la fréquence des allergies et le surpoids des enfants. Aujourd'hui, de nouvelles règles ont été fixées, qui tiennent compte de la physiologie naturelle des jeunes enfants.

Les bases physiologiques :

  • La succion-déglutition est un automatisme inné, alors que le passage à la cuillère demande une coordination complexe impossible à acquérir en toute sécurité (risque de fausse-route alimentaire) avant l'âge de 6 mois.
  • La lactase (enzyme qui digère le lactose) a une activité maximale dès la naissance, alors que celle de l'amylase (enzyme capable de digérer les sucres complexes) ne s'avère optimale que vers 3 ans.
  • Les enzymes de digestion des protéines ne sont pleinement opérationnelles que vers l'âge de 1 an, tout comme la sécrétion des sucs gastriques et les capacités d'épuration des déchets protéiques par le rein.
  • L'intestin, dont la motricité et la flore subissent une lente maturation, atteint sa longueur maximale vers 4 ans. La sortie des dents de lait, qui s'échelonne entre 6 et 24 mois, reflète exactement le niveau de maturité du tube digestif et sa capacité à digérer autre chose que du lait. En d'autres termes, tant que l'enfant n'a pas de dents pour couper ou mâcher les aliments, il n'est pas prêt à les digérer, même moulinés.
  • Enfin, les muqueuses de la gorge et du tube digestif restent très perméables jusqu'à l'âge de 8-9 mois : elles laissent passer les protéines étrangères vers les tissus et donc vers les cellules du système immunitaire, ce qui peut déclencher une allergie chez le jeune enfant prédisposé. 

Les pédiatres estiment que de nombreux cas de rhino-pharyngites non fébriles (sans fièvre) chez le nourrisson sont dus au contact des tissus avec les protéines des aliments.

Quand diversifier ?

Jusqu'à 4 mois révolus. Le lait doit rester l'aliment exclusif de l'enfant et il peut le rester encore beaucoup plus longtemps. L'ajout de farines est inutile et favorise une future obésité. À partir du 5e mois. Vous pouvez introduire très progressivement des fruits et des légumes. Évitez les fruits exotiques (kiwis, bananes, ananas, papayes...), qui sont très allergisants, ainsi que les légumes riches en fibres non digestibles, tels le poireau ou le navet. Vous pouvez ajouter de la farine de céréales sans gluten dans le biberon, mais en augmentant très progressivement sa concentration dans le lait deuxième âge. 

Après 6 mois. Commencez à introduire des protéines animales. Proposez d'abord du jaune d'œuf, du poisson, du jambon ou de la viande maigre mixée, à raison d'une puis deux cuillerées à café midi et soir. Ne donnez pas de blanc d'oeuf, très allergisant, avant 8 mois révolus. Vous pouvez aussi remplacer un biberon de lait par un laitage de type yaourt, fromage blanc frais ou petit-suisse, complété par un biscuit quand les dents sont apparues.

À partir de 8 mois. Deux des quatre repas peuvent être composés d'un plat de 10 à 20 g de viande ou de poisson, d'un mélange de légumes verts et de pommes de terre ou de céréales (riz, semoule), d'un laitage frais et d'un fruit. L'apport de lait de suite doit être de 500 ml minimum par jour.

Les précautions 

L'introduction de nouveaux aliments doit se faire en petite quantité, l'un après l'autre, pour surveiller les réactions de l'enfant. Une poussée d'eczéma, des vomissements, une rhinopharyngite sans fièvre, un érythème fessier, une constipation ou une diarrhée, un ballonnement abdominal sont autant de signes d'intolérance qu'il faut respecter, tout comme le refus de l'enfant. Retirez pour quelques semaines l'aliment concerné et faites une nouvelle tentative un peu plus tard, avec précaution.

La digestion des graisses n'est complète que vers l'âge de 3 ans, du fait de la faible sécrétion des enzymes nécessaires et des sels biliaires. Ne donnez aucun aliment frit (viande, pomme de terre), n'ajoutez pas de beurre ou d'huile avant l'âge de 2 ans.

La diversification doit être encore plus tardive chez un enfant allergique (qui souffre d'eczéma, d'asthme ou de toux nocturne, qui présente des rhino-pharyngites à répétition) : pas de légumes et de fruits avant 6 mois, pas de protéines étrangères au lait avant 1 an.

 

Mon conseil : Faites découvrir à votre enfant le goût des vrais et bons aliments dès son plus jeune âge : vous imprimerez dans son cerveau des valeurs qu'il gardera toute sa vie. N'ajoutez ni sucre ni sel inutiles.

 

LES PRODUITS DIETETIQUES POUR LES ENFANTS

Laits, farines, petits pots, tous ces "aliments diététiques de l'enfance" sont strictement contrôlés par la législation européenne. Exploration de cet important marché.Le centre d’amincissement anti-âge Hélène Galé spécialisé dans la presso thérapie, drainage lymphatique et les jambes lourdes vous propose la cryolipolyse pour mincir et maigrir par le froid pour les hommes comme pour les femmes à Tarbes 65000 et Pau.

Aliments diététiques de l'enfance et réglementation 

Légalement, ils regroupent tous les produits industriels que peuvent consommer les enfants, depuis leur naissance jusqu'à l'âge de 3 ans. La première réglementation française fut publiée le 1er juillet 1976. Depuis, elle n'a cessé d'être améliorée. Au cours de la dernière décennie, les aliments de l'enfance ont fait l'objet d'une harmonisation européenne, donnant lieu à la publication de 24 textes spécifiques ou généraux visant à garantir que la composition de ces aliments soit bien adaptée aux besoins nutritionnels des nourrissons et enfants en bas âge, tout en répondant aux normes de sécurité.

Les laits 1er âge 

Ce sont les "préparations pour nourrissons". Ils apportent au bébé entre 0 et 4 à 6 mois les éléments indispensables à son développement lorsque la maman ne peut ou ne souhaite pas l'allaiter. Leur composition est élaborée pour être la plus proche possible de celle du lait maternel. Protéines, lipides (et acides gras essentiels), glucides sont codifiés, de même que les minéraux. Ils sont enrichis en fer et en vitamines dans des proportions très précises. Il existe également des produits spéciaux pour les bébés ayant des besoins spécifiques : lait hypoallergénique, permettant la réduction du risque allergique ; acidifié, pour les nourrissons présentant des troubles digestifs fonctionnels; aliments de régime pour nourrisson de faible poids de naissance; laits anti-régurgitation (AR) pour les nourrissons souffrant de régurgitation ; laits de réalimentation pour les enfants diarrhéiques.

De 4 à 6 mois à 1 an 

  • Laits 2° âge. Ce sont des laits adaptés aux besoins spécifiques des enfants de cet âge et à leur développement.
  • Céréales : la gamme est large, adaptée et codifiée. Céréales sans gluten, avec ou sans fruits et légumes finement homogénéisés à diluer dans du lait ou bien lactées ou enrichies en protéines à reconstituer avec de l'eau. Céréales infantiles enrichies en fruits ou légumes, purées de fruits ou légumes.
  • Petits pots et plats préparés. Petits pots de viande, poissons, légumes, fruits. Potages et purées déshydratés. Assiettes spéciales micro-ondes. Jus et boissons. Desserts et produits laitiers. La gamme est large (il existe plus de 150 produits), tous adaptés à la diversité alimentaire en fonction des besoins nutritionnels de l'enfant et de son apprentissage du goût et des saveurs.

1 a 3 ans 

  • Laits de croissance. Ils sont spécifiquement adaptés par rapport au lait de vache, enrichi en fer et e acides gras polyinsaturés essentiels, mais moins riches en protéines, afin de limiter les risques nutritionnels, facteur d'obésité infantile.
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Mon conseil : Tous ces produits pour l'enfance sont très sûrs. Les laits et les céréales mis au point en fonction des différents âges sont vraiment indispensables. Quant aux petits pots et plats préparés, ils sont un bon moyen de dépannage.

L'étiquetage : Les règles concernant toutes les informations devant figurer sur les emballages des aliments de l'enfance sont aussi strictement encadrées par la législation européenne. L'information doit aussi être éducative.

 

SECURITE
La législation interdit l'emploi d'édulcorant et de colorants, limite l'enrichissement en vitamines, minéraux et aussi additifs, impose des normes sur les résidus de pesticides et sur les matériaux de contacts (les emballages). Aux règlements propres aux aliments de l'enfance s'ajoutent les règles générales des aliments destinés à l'ensemble de la population et celles qui sont applicables à la production agricole.

 

À noter... Les professionnels des aliments de l'enfance et de la diététique sont regroupés au sein du Syndicat Français des Aliments de l'Enfance et de la Diététique (SFAED).

 

COMMENT PREVENIR L'OBESITE CHEZ l'ENFANT ?

L'obésité touche plus de 2 enfants sur 10 en France. Or plus de trois enfants obèses sur quatre le restent à l'âge adulte. Outre d'éventuelles relations difficiles avec les autres, c'est la santé de leur vie future qui est en cause. Il existe pourtant des moyens simples pour prévenir ce problème.

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La surveillance

 Surveiller le poids de l'enfant chez le médecin, à chaque bilan obligatoire de santé comme à l'occasion d'autres consultations, permet de tracer des courbes et de détecter un poids excessif par rapport à la taille. Contrairement à ce qui se dit, un gros bébé n'est pas un beau bébé, c'est un bébé en danger.

Chez le nourrisson

Les quantités de lait prescrites par le médecin sont toujours ajustées à son poids : il est inutile d'augmenter la dose, même un peu, sous prétexte que bébé finit tous ses biberons jusqu'à la dernière goutte. S'il a soif entre deux tétées, donnez-lui de l'eau pure : ajouter un peu de sirop ou de jus de fruits apporte des calories inutiles qu'il devra stocker sous forme de graisse. 
Un bébé qui pleure n'a pas forcément faim. Le calmer avec une tétine, ou pire avec un petit gâteau, induit précocement chez lui un réflexe qui le poursuivra toute sa vie : manger (ou plus tard fumer une cigarette) pour apaiser une anxiété, un besoin affectif ou physique. La diversification doit être lente, progressive et équilibrée. On ne remplace pas rapidement le lait par des protéines animales, on introduit peu à peu des légumes, puis des céréales en supplément du lait, selon le programme fixé parle pédiatre. 
L'excès de protéines est aussi une des causes majeures de l'obésite du nourrisson.

Chez le petit enfant
Lutter contre l'obésité, c'est d'abord lutter contre les mauvaises habitudes. Les plus fréquentes sont :

  • le refus de manger des légumes (nécessaires au moins une fois par jour) et l'exigence de pâtes, de riz ou de pommes de terre à chaque repas : l'indispensable fermeté des parents n'a de sens que si toute la famille respecte cette règle ; 
  • les boissons sucrées (sodas et jus de fruits) qui remplacent de plus en plus souvent l'eau comme boisson de base : l'enfant doit apprendre très tôt que l'eau est la seule boisson indispensable et que les boissons sucrées sont réservées aux moments de fête, comme l'alcool pour les parents. 
  • les gâteaux et confiseries offerts pour faire plaisir ou le remercier (tu as été sage, prends un bonbon...), satisfaire ses exigences et éviter une colère, voire assurer sa santé (c'est plein de calcium ou de vitamines...). Apprenez à vos jeunes enfants à manger de tout et à ne pas grignoter. 

Même la collation servie le matin à l'école maternelle est remise en question car elle est superflue chez les enfants qui prennent un petit déjeuner.

Chez l'enfant 
On retrouve les mêmes erreurs, accentuées par l'autonomie croissante de l'enfant. Il vous faudra lutter contre :

  • le grignotage permanent qui remplace de plus en plus souvent les repas structurés ou complète un repas incomplet, qui rassure ou sert à combler l'ennui 
  • le manque d'activités physiques chez un enfant assis du matin au soir devant la télévision ou devant une console de jeux.
  • l'abus de boissons sucrées, de barres énergétiques, de confiseries... Apprenez à l'enfant à manger plus léger le soir, les calories du dîner étant plus difficiles à dépenser pendant le sommeil. Exigez le respect des horaires, y compris du goûter. 

N'achetez pas de boissons ou de produits à éviter, en pensant que vous pourrez en maîtriser la consommation : ce que vous achetez est fait pour être mangé ou bu, et l'enfant ne résistera pas à la tentation.

L'activité physique

Apprendre à un enfant à bouger, c'est d'abord lui donner l'exemple. 
Parmi les activités de base, privilégiez : 

  • l'aller et le retour de l'école à pied, sauf occasion exceptionnelle. 
  • les jeux de plein air (vélo, football, roller, skate, natation...) 
  • le sport à l'école et dans un club. 

Si l'enfant est déjà en surpoids, une activité sportive est encore plus nécessaire. Faites-lui pratiquer un sport dont il a envie et de préférence pour lequel son surpoids est un avantage : judo et sports de combat (catégories de poids), rugby aux postes 
d'avant par exemple.

A TABLE
L'éducation, c'est aussi apprendre à un enfant à manger lentement, à bien mâcher ses aliments, à patienter entre deux plats. Deux petites astuces peuvent vous aider : demandez-lui de boire un verre d'eau avant le repas, puis de poser systématiquement sa fourchette entre deux bouchées. Ne le pressez pas de terminer son assiette sous prétexte que vous êtes pressés : le repas doit toujours être un vrai moment de détente.

À noter... L'expérience de la ville de Fleurbalx-Laventie dans le Nord montre que la prévention de l'obésité infantile est efficace quand tous les acteurs s'y engagent : parents, enseignants, éducateurs sportifs ou de loisirs, l'obésité n'est pas une fatalité.

Mon conseil : Un enfant peut aussi se mettre à trop manger parce qu'il est « mal dans sa tête ». Pensez-y et si vous ne réussissez pas à trouver seule la solution à son problème, n'hésitez pas à vous faire aider par un psychologue.

 

L'ADOLESCENT : DE NOUVEAUX BESOINS ALIMENTAIRES

Le poids d'un garçon double entre le début et la fin de sa puberté. D'où des besoins alimentaires très importants, qui ne sont pas toujours faciles à satisfaire. D'autant plus qu'il veut s'affirmer et échapper aux traditions familiales et alimentaires.Le centre d’amincissement anti-âge Hélène Galé spécialisé dans la presso thérapie, drainage lymphatique et les jambes lourdes vous propose la cryolipolyse pour mincir et maigrir par le froid pour les hommes comme pour les femmes à Tarbes 65000 et Pau.

Les besoins énergétiques

Pendant cette période, les besoins énergétiques quotidiens des garçons évoluent entre 2600 et 3000 calories. Ils peuvent même aller jusqu'à 3500 calories quand l'adolescent fait du sport. Cela explique que les garçons soient si souvent affamés, qu'une baguette entière ne leur fasse pas peur et qu'ils aiment autant les pâtes et les frites ! Les glucides et les lipides leur fournissent cette énergie dont ils ont tant besoin. N'hésitez pas à mettre spaghettis, purée, gratin de pommes de terre à leur menu. Achetez beaucoup de pain de façon qu'ils en aient toujours pour le petit déjeuner et le goûter. Mais surveillez quand même (si vous le pouvez !) les grignotages de produits sucrés ou salés : ce sont surtout eux qui font grossir. Quant aux boissons sucrées, éliminez-les du réfrigérateur : elles déséquilibrent vraiment trop l'alimentation.

L'augmentation du poids 97 % des enfants se situent sous la courbe haute et 3 % sous celle du bas. Les limites supérieures et inférieures rassemblent 94 % des enfants de 10 à 18 ans. Les besoins en protéines. Plus encore que chez les filles, la croissance se traduit par une augmentation de la masse musculaire et osseuse. D'où un besoin accru de protéines : 90 g par jour, dont au moins un quart doit provenir de sources animales (y compris les laitages). À chaque repas, vous devez lui proposer de la viande, du poisson ou des œufs, ainsi que des produits laitiers.

 

Les besoins en minéraux 

L'alimentation d'un adolescent, quand elle est équilibrée, couvre normalement ses besoins en minéraux. Néanmoins, les points critiques peuvent être le calcium et le fer. Une ration quotidienne de 1 200 à 1 500 mg de calcium est nécessaire pour fabriquer de bons os. Seule une importante consommation de produits laitiers peut garantir ce quota. Remplissez le réfrigérateur de lait demi-écrémé, de yaourts à boire, de fromages frais et de fromages fermentés : ceux à pâte cuite sont les plus riches en calcium (800 mg en moyenne pour 100 g). Préparez-lui des desserts à base de lait : riz et semoule, par exemple, qui fournissent en même temps des glucides. Généralement, les garçons apprécient la viande rouge, riche en fer. Cela leur permet de satisfaire leur besoin en cet oligoélément (12 à 18 mg par jour).

 

Les besoins en vitamines

Comme pour les minéraux, aucun supplément vitaminique n'est nécessaire lorsque l'alimentation est suffisante et diversifiée. L'adolescent doit toutefois recevoir suffisamment de vitamine C (les besoins sont de 100 mg par jour) : préférez le jus d'orange frais (30 à 50 mg de vitamine C pour 10 cl) aux sodas, qui en sont dépourvus. Les garçons ne sont pas vraiment amateurs de légumes : préparez des gratins pleins de fromage. Vous ferez coup double : légumes (vitamines et minéraux) + lait et fromage (calcium). Laissez une coupe de fruits à leur portée : mieux vaut qu'ils grignotent cela plutôt que des chips.

Votre enfant grandit ! 
«Je suis grand et indépendant», c'est ce qu'il vous dit en fuyant les horaires de repas et en multipliant grignotages, plateaux-télé, repas décalés, fast-foods. Soyez tolérante, mais pas trop. Il a aussi besoin d'autorité et de discipline alimentaire, même s'il les refuse. Sortez-le de son ordinateur pour lui faire cuire les nouilles : il sera alors à l'heure pour les manger !
 

Mon conseil : Les ados qui font du sport régulièrement risquent moins de grossir. Si le vôtre préfère la télévision, vous devez le convaincre de la beauté d'un corps musclé. Et trouver avec lui un club qui lui convient.

 

ADAPTEZ L'INTENDANCE ! 
Un adolescent cumule travail scolaire, activités sportives ou culturelles, ordinateur et/ou télévision. Il est assez normal qu'il veuille manger vite et à son heure. Essayez d'avoir toujours un repas prêt (équilibré, pas une pizza !) qu'il pourra facilement se réchauffer tout seul.

À noter... On compte aujourd'hui quatre fois plus de jeunes obèses qu'il y a vingt ans. Alimentation déséquilibrée et déstructurée, grignotage (produits gras et sucrés) et sédentarité (télévision, ordinateur) en sont les grands responsables.

 

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