Le cancer de la thyroïde est une forme de cancer qui commence dans la glande thyroïde, située dans la partie antérieure du cou. Les symptômes peuvent inclure une boule ou une masse dans le cou, un changement de la voix, des douleurs à la gorge ou des difficultés à avaler.
Les causes exactes du cancer de la thyroïde ne sont pas bien connues, mais il est plus fréquent chez les femmes que chez les hommes et il peut être lié à des antécédents familiaux de la maladie ou à l’exposition à certaines radiations.
Les traitements pour le cancer de la thyroïde peuvent inclure une chirurgie pour enlever la glande thyroïde, une radiothérapie et/ou une hormonothérapie pour supprimer ou contrôler la production d’hormones thyroïdiennes. La plupart des cas de cancer de la thyroïde ont un pronostic très bon et peuvent être traités avec succès.
Le cancer du foie est une forme de cancer qui commence dans le foie. Les symptômes peuvent inclure une douleur dans le quadrant supérieur droit de l’abdomen, une perte de poids inexpliquée, une perte d’appétit, une fatigue et une jaunisse. Les causes exactes du cancer du foie ne sont pas bien connues, mais il est plus fréquent chez les personnes atteintes d’hépatite B ou C, chez les personnes atteintes d’une maladie hépatique chronique et chez les personnes qui consomment de grandes quantités d’alcool.
Les traitements pour le cancer du foie peuvent inclure une chirurgie pour enlever la partie affectée du foie, une chimiothérapie, une radiothérapie et/ou une transplantation hépatique. Le pronostic du cancer du foie dépend de plusieurs facteurs, notamment du stade de la maladie et de l’état de santé général de la personne atteinte.
En résumé, le cancer de la thyroïde est une forme de cancer qui commence dans la glande thyroïde, tandis que le cancer du foie est une forme de cancer qui commence dans le foie. Les causes exactes de ces cancers ne sont pas bien connues, mais ils peuvent être liés à des facteurs tels que l’exposition à certaines radiations ou les maladies chroniques.
Les traitements pour ces cancers peuvent inclure une chirurgie, une radiothérapie, une chimiothérapie et/ou une hormonothérapie, selon le type et le stade de la maladie
L'influence, positive ou négative, de l'alimentation sur la fréquence des cancers intrigue les chercheurs. Ils estiment que la moitié au moins des cancers est liée à la façon de se nourrir. Quels sont les facteurs à risque ?
L'alcool est un facteur cancérigène unanimement reconnu et démontré sur les cancers digestifs (œsophage, estomac, foie, côlon), sur les cancers de la bouche et de la gorge, comme sur le cancer du sein. Son rôle néfaste sur tous ces organes est majoré par le tabagisme.
L'autre facteur favorisant de nombreux cancers est l'excès de poids par suralimentation, alors que l'obésité génétique n'augmente pas le risque. En revanche, les colorants et additifs alimentaires autorisés n'ont aucune toxicité démontrée.
Les carences en substances antioxydantes (vitamines A, C et E, bêtacarotène, riboflavine, flavonoïdes, polyphénols) ont un effet direct sur le risque de cancer. Ces substances se trouvent dans les légumes et les fruits. La sous-alimentation, notamment en protéines, joue un rôle certain : c'est l'un des risques de l'anorexie ou de régimes prolongés.
Le cancer du sein
L'un des facteurs de risque serait un excès global de graisses alimentaires et de viande rouge. Le risque augmente aussi de 10 % par absorption quotidienne de 10 g d'alcool. Le rôle des graisses alimentaires reste discuté. En effet, les femmes qui boivent beaucoup de lait écrémé (chèvre,brebis) et consomment des graisses mono-insaturées (huile d'olive) paraissent relativement protégées, comme c'est le cas dans le régime crétois.
À l'inverse, les régimes riches en graisses saturées (beurre, fromages, viande grasse) et huiles végétales polyinsaturées (tournesol, maïs...) semblent augmenter le risque. Mais les résultats des études diffèrent d'un pays à l'autre (Finlande et États-Unis notamment) : il y a probablement un facteur génétique associé, lié au métabolisme des graisses.
Des suspects ont été récemment innocentés : le café et le cholestérol alimentaire !
Les cancers digestifs
Le talc utilisé autrefois pour polir le riz était responsable de la grande fréquence des cancers gastriques en Asie. Ils ont sensiblement reculé depuis l'abandon de cette technique.
Pour les cancers digestifs, outre l'alcool et le tabac, les facteurs de risque probables sont la consommation régulière de boissons très chaudes (thé, café, tisanes), les graisses saturées cuites, les salaisons et les produits fumés (viande, charcuterie, poisson), les abus d'épices irritantes.
On estime qu'un kilo de viande fumée contient autant de goudrons cancérigènes que 200 cigarettes. La viande grillée ou cuite au barbecue contient également des benzopyrènes cancérigènes.
Le cancer du foie
Deux facteurs sont bien identifiés, en dehors de l'alcool : les mycotoxines ou aflatoxines libérées par des moisissures, notamment dans les arachides fraîches souillées, et les nitrosamines fabriquées par les bactéries intestinales en présence de nitrates et de nitrites (légumes de culture intensive).
Les autres cancers
Un régime riche en graisses saturées, abondantes dans la viande, le beurre et les fromages, multiplie par trois le risque de cancer de la prostate. La carence en vitamine D pourrait jouer un rôle favorisant. L'abus de café est toujours suspect de favoriser le cancer de la vessie et, peut-être, celui du pancréas.
Mon conseil : Votre programme alimentaire Hélène Galé est très proche du modèle méditerranéen, dont on sait qu'il contribue à protéger du cancer. Plus vous mangerez de légumes (bio), mieux vous serez protégé.
À noter... Une obésité et un régime trop riche en graisses, surtout saturées, sont en soi des facteurs de risque cancéreux. Maigrir, préparer une cuisine légère et pratiquer régulièrement une activité physique sont aussi des moyens de limiter ses risques personnels de cancer.
La thyroïde est une glande en forme de papillon, située à la base du cou. Contrôlée par l'hypophyse, elle sécrète des hormones qui régulent tout notre métabolisme. Un seul élément extérieur peut modifier le fonctionnement de la thyroïde : les variations de l'apport en iode.
Le goitre est une augmentation globale du volume de la thyroïde, qui ne présume pas du fonctionnement de la glande. Les nodules sont des petites masses perceptibles dans la thyroïde. Ils peuvent être chauds (sécrétants) ou froids (non sécrétants) à la scintigraphie. L'hypothyroïdïe est une sécrétion insuffisante d'hormones thyroïdiennes. L'hyperthyroïdie est une sécrétion excessive d'hormones thyroïdiennes, par la glande entière ou par un simple nodule.
Une insuffisance thyroïdienne (myxœdème) peut provoquer différents symptômes plus ou moins marqués : une fatigue physique, psychique, intellectuelle et sexuelle, une peau sèche, pâle et bouffie par un faux œdème, une grosse langue, une voix rauque, des gestes lents et malhabiles, une frilosité, un pouls lent.
La principale cause alimentaire de l'insuffisance thyroïdienne est la carence en iode, qui se rencontre encore dans quelques vallées alpines en Europe ainsi que dans l'Himalaya, dans les Andes ou en Afrique. Lorsqu'elle touche les jeunes enfants, la carence iodée est responsable d'une forme particulière de retard mental, le crétinisme.
La prévention repose sur l'ajout d'iode dans le sel de cuisine, l'eau de ville ou même le pain. Certains aliments sont capables de piéger l'iode dans l'intestin, ce qui peut aboutir à une carence iodée relative s'ils sont consommés trop souvent, notamment dans des régions sous-développées. C'est le cas des choux de Bruxelles et du chou vert frisé.
L'hypothyroïdie peut être due à un blocage de la glande thyroïde par un apport massif d'iode dans le corps. Ces surcharges sont devenues fréquentes avec l'usage de médicaments et de produits de radiologie contenant de l'iode. La surcharge temporaire dure quelques jours après une application de teinture d'iode, quelques semaines après une angiographie, quelques mois après la prise d'amiodarone pour le cœur.
Elle peut être définitive après certaines radiographies utilisant un produit de contraste iodé (radiographies très spécialisées et de moins en moins pratiquées). Dans certains cas, l'apport massif d'iode bloque la thyroïde et entraîne une hypothyroïdie. Dans d'autres cas, la thyroïde s'emballe et une hyper-thyroïdie se développe.
Un apport excessif en iode semble capable de déclencher une hyperthyroïdie chez des personnes prédisposées. Les différents symptômes sont l'apparition d'un goitre, une perte de poids, une augmentation du rythme du pouls, des démangeaisons, une nervosité, une diarrhée ou des selles fréquentes, des tremblements fins, des yeux exorbités et bien d'autres signes ou complications. Les apports alimentaires sont rarement en cause. Certains médicaments ou certaines préparations d'algues marines utilisées contre la constipation peuvent être responsables.
La possibilité qu'il existe un lien entre les cancers de la thyroïde et l'absorption d'aliments contaminés par le nuage radioactif de Tchernobyl préoccupe le monde médical.
Les mesures effectuées dans les régions touchées par le nuage (Alpes, Vosges et Jura) montrent en effet que les champignons, le gibier et, dans une moindre mesure, les baies présentent une radioactivité supérieure aux normes européennes (limites acceptables pour la consommation).
Nul ne peut affirmer cependant que cette contamination a modifié l'évolution naturelle de la fréquence des cancers thyroïdiens, laquelle est en augmentation constante depuis 1928, soit bien avant l'explosion de 1986.
Un effet uniquement préventif :
Au stade de la maladie, l'hypothyroïdie par carence en iode ne se soigne pas par des apports alimentaires ou médicamenteux en iode (le médecin prescrit des hormones de substitution).
Enrichir sa ration en poissons et fruits de mer, en algues ou en soja n'a qu'un effet préventif.
UNE CARENCE MARGINALE
La carence endémique en iode a quasiment disparu en France grâce à l'ajout d'iode dans le sel de table ou dans l'eau. Seules les personnes suivant un régime sans sel ou ayant une alimentation extrêmement monotone, à base de choux par exemple, peuvent souffrir d'une carence relative.
À noter... Les conséquences thyroïdiennes des radiographies avec produit iodé diminuent au fur et à mesure que ces techniques sont remplacées par des scanners ou des IRM sans injection. Il faut chercher ailleurs la cause des fréquences accrues de maladies thyroïdiennes.
Le régime occupe souvent une place secondaire dans le traitement des maladies du foie, à l'exception de la suppression des toxiques qui ont provoqué une cirrhose ou une stéatose. Il vise surtout à protéger le foie contre des agressions supplémentaires.
La cirrhose est une destruction globale et durable de la structure du foie, due à un alcoolisme chronique (80 % des cas), une hépatite virale ou auto-immune, une obstruction des voies biliaires dans ou à l'extérieur du foie, des maladies génétiques ou métaboliques, dont l'hémochromatose, des effets médicamenteux.
Les principales conséquences métaboliques sont la rétention du sodium et les désordres de l'équilibre sels/eau, l'excès d'azote et d'ammoniaque dans le sang, la dénutrition protéique.
Le régime.
Dans toute cirrhose, quelle qu'en soit la cause, il faut supprimer totalement et définitivement toutes les boissons alcoolisées. Aucune tolérance n'est permise, la moindre goutte d'alcool venant attaquer les dernières cellules fonctionnelles. En cas d'ascite (gros ventre rempli d'eau) ou d'œdèmes,le médecin prescrira aussi un régime sans sel pour limiter les effets de la rétention sodée et assécher l'ascite.
Selon l'état du malade, un régime pauvre en protéines pourra être conseillé pour limiter l'excès d'azote sanguin. À l'inverse, un régime riche en protéines peut être recommandé pour lutter contre un état de dénutrition chez un malade qui ne présente ni ascite ni excès d'azote.
Cette maladie auto-immune, qui bloque les canaux biliaires dans le foie,ne requiert pas de régime spécifique, mais l'alimentation, les compléments alimentaires ou les médicaments doivent venir compenser les déficits en vitamines A et K, en zinc et, surtout, en calcium, car l'ostéoporose est une complication précoce de cette maladie.
Dans cette maladie, le foie est gras et trop gros en raison d'une alimentation trop calorique, trop grasse et, souvent, un peu trop alcoolisée. On constate alors une accumulation hépatique de triglycérides.
Le régime.
Le malade doit supprimer les boissons alcoolisées et les produits sucrés, tout comme favoriser les glucides à index glycémique bas. Un régime hypocalorique est nécessaire pour réduire un excès de poids, surtout pour les personnes qui sont également diabétiques.
Il ne semble pas utile d'augmenter les rations de protéines. Les compléments alimentaires de type choline, bétaïne, méthionine, cystine, vitamine B12 ou acide folique ont un effet contesté chez l'homme.
Pendant la phase aiguë de l'hépatite virale, le régime doit être normal mais adapté à l'appétit du malade, souvent diminué. Il est logique d'éviter l'alcool, mais des études montrent qu'il n'y a aucune différence d'évolution entre l'abstinence totale et une consommation modérée un verre de vin ou de bière par repas.
Quand l'hépatite devient chronique, le principal danger est l'évolution vers la cirrhose. Un régime sans alcool, peu salé surtout en cas de traitement par la cortisone et peu gras s'impose.
LA CRISE DE FOIE
La crise de foie n'existe pas s'agit d'un trouble des voies biliaires ou d'une indisposition gastrique après un excès. Quelques heures de repos et de jeûne suffisent pour gommer les symptômes. Dans certains cas, la douleur est liée à une intolérance à un aliment, souvent de nature psychosomatique, car les troubles n'apparaissent pas si la personne ignore ce qu'elle mange.
À noter... Une cirrhose compliquée d'ascite ou d'excès d'azote sanguin peut imposer un régime limité en protéines animales et végétales. Une diététicienne établira un régime strict selon les indications du médecin, tout écart pouvant provoquer une complication sévère, tel un coma hépatique.
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